Ross, Chien Principal d’Education participe à l’ancrochage des jeunes à l’EPLEFPA d’Ahun (23)

Depuis un peu plus d’un an, l’EPLEFPA d’Ahun (23) accueille dans son équipe pédagogique Ross, un chien médiateur, mis à disposition par l’association handichien.

Pour en savoir un peu plus, nous nous sommes immergés dans le quotidien des jeunes, des adultes et de Ross. Aussi, dans le témoignage ci-aprés, nous vous proposons d’explorer le concret de ses activités, mais également les circonstances dans lesquelles s’est déroulé son recrutement (l’origine du projet), les premiers effets constatés par ses nouveaux collègues, mais également les prolongements et plus largement l’intérêt pour l’EPLEFPA.

Enfin, nous terminerons en insistant sur quelques conditions de réussite évoquées par les intéressés, et nous tenterons de porter un regard sur la nature ancrochante apportée par ce professionnel de la médiation. En effet, par les apports qu’il provoque et par son soutien, il contribue à renforcer les processus d’autonomisation, socialisation et apprentissages propices à l’engagement, à l’inclusion, et à asseoir les réussites des apprenants dans différentes dimensions : académiques, éducatives, professionnelles, territoriale.

Accéder au témoignage : Ross, Chien Principal d’Education pour contribuer à l’ancrochage des jeunes à l’EPLEFPA d’Ahun (23)

Auteur.es

Sophie Zambelli, CPE à l’EPLEFPA de la Creuse

Nathalie Bletterie, Ingénieure pédagogique et spécialiste en médiation animale, l’Institut Agro Montpellier (Florac)

François Guerrier, Ingénieur pédagogique, l’Institut Agro Rennes Angers




Des capsules vidéos pour éclairer des concepts clés de l’économie des filières alimentaires (RMT Filarmoni)

Ce travail est le fruit d’une coopération enseignement technique/enseignement supérieur, recherche et développement agricole, initié dans le cadre du réseau mixte technologique (RMT) Filarmoni agréé par la DGER.

Les 18 partenaires du réseau ont décidé d’inscrire explicitement un axe de travail pour s’intéresser au transfert et à l’appropriation des connaissances nouvelles en économie des filières alimentaires en direction des acteurs de l’enseignement et du développement agricole ; En particulier les élèves apprentis et stagiaires de la formation initiale et continue.

L’action entend produire plusieurs types de livrables, notamment une série de capsules vidéos de 2 à 15 minutes, ciblant des concepts et notions-clefs pour appréhender l’économie des filières alimentaires, facilement accessibles en ligne via la chaîne du RMT Filarmoni.

A ce jour, 10 capsules vidéos sont réalisées et testables. A celles-ci s’ajoutent 2 vidéos relatant des retours d’expériences de conduite de projet d’études de filières alimentaires par des élèves ingénieurs de dernière année, et une vidéo « je filme la filière qui me plait » réalisée par les élèves de BTS du lycée de Limoges-les Vaseix avec  leur enseignante de SESG (Magali Cubizolle).

Pour en savoir plus sur l’expérimentation n’hésitez pas à consulter le témoignage portant sur la démarche d’ingénierie et à revenir vers nous si besoin.

La liste des capsules actuellement en ligne sur la chaîne du RMT Filarmoni.

Capsules « concepts et notions clés en économie de filières alimentaires »

Cours

Je filme la filière qui me plaît

Aude Ridier, enseignante-chercheure en économie, l’Institut Agro Rennes Angers et animatrice du GT4 « pédagogie’ du RMT Filarmoni,

François Guerrier, ingénieur pédagogique et chargé de missions nationales d’appui pédagogique pour l’enseignement agricole, l’Institut Agro Rennes Angers,

Février 2022 – mise à jour 31/08/2022

Exemple : les coûts de production par Yannick Carel de Arvalis

 

 

 




La MLDS de la Vienne organise une journée pour présenter la démarche et les outils de l’ancrochage

Comment lutter plus efficacement contre le décrochage scolaire ? Sur quels leviers agir en établissement ? Quelles stratégies individuelles et collectives développer pour créer les conditions de la réussite des élèves ? Comment être vigilant à ne pas ajouter de difficultés à l’apprentissage ?

Ces questions ont pu être débattues lors d’une journée de formation organisée par la mission de lutte contre le décrochage (MLDS) de la Vienne à Poitiers le 7 février 2019 en destination des référents « lutte contre le décrochage scolaire » du département. Là,  35 Lycées professionnels et généraux, mais également collèges étaient représentés par 70 référents.

Pour animer cette journée, Laurent Scheithauer (IEN chargé de l’information et de l’orientation) et Isabelle Hérault (coordonatrice de la MLDS) avaient convié quelques acteurs de la recherche-action ancrochagne pour faire part de leurs résultats, et pour échanger sur ce que les établissements d’enseignement agricole mettent en œuvre pour faire réussir leurs apprenants.

L’intention était de sensibiliser les équipes au fait de valoriser et de renforcer ce qui est fait pour faire réussir, mais également de réfléchir aux pratiques individuelles et collectives porteuses de décrochage. Par exemple à l’occasion de situations pédagogiques, d’évaluations, de conseils de classe, dans les relations avec les jeunes mais également entre adultes, dans la cohérence entre les actes et les valeurs affichées, etc…

Autrement dit, comment aider à construire un état d’esprit, une compétence collective en établissement pour

  • s’attacher à faire accrocher les apprenants en leur proposant différentes occasions d’ancrage,
  • miser sur la prévention plus que sur le seul traitement du décrochage (qui propose le plus souvent d’externaliser les difficultés),
  • considérer les relations réciproques entre gestion de classe et apprentissages (un élève qui apprend est rarement perturbateur),
  • porter un regard analytique sur ce qui objectivement produit de l’engagement dans les apprentissages afin de mettre à distance ce qui tout aussi objectivement produit du décrochage (par exemple des repères, de la stabilité, etc…) !

Cette journée a donc permis de valoriser les travaux et les outils créés par les équipes de la recherche-action ancrochage, et partager certains points clés :

  1. L’importance de créer des situations d’apprentissages mettant en jeu les processus d’apprentissage, d’autonomisation et de socialisation,
  2. Jouer sur les effets de réciprocité entre ce qui se joue entre apprenants, apprenants et enseignants et formateurs, mais également entre adultes, avec les personnels de direction, etc…,
  3. La distinction de plusieurs échelles d’intervention, entre ce sur quoi nous avons prise individuellement, et ce sur quoi agir avec les collègues, au niveau de la classe ou de l’établissement,
  4. valoriser ce qui ce fait, ce qui existe pour en développer le potentiel,
  5. apporter du cadre et de la stabilité pour éviter de réinventer sans cesse, source de stress pour les personnes et pour les organisations,
  6. prendre le temps de travailler la cohérence des actes du quotidien avec ce que l’on essaye de développer avec les apprenants: respect, écoute, accueil, apprentissage, évaluation, confiance, estime et considération, etc….
  7. s’attacher à regarder ce sur quoi l’on a prise, à développer son pouvoir d’agir pour faire ancrocher en formulant collectivement les problèmes de façon à pouvoir les appréhender ! Par exemple : Considérons-nous le décrochage comme résultant des difficultés scolaires (les élèves n’ayant pas le niveau, ils vont décrocher) ? Où nous interrogeons-nous sur la possibilité de l’engagement des élèves en tenant compte de leurs difficultés (intéresser en les prenant là où ils sont tout en permettant à chacun de se développer ?) ? En fonction de la façon dont la communauté éducative se situera, elle se considéra agissante sur un périmètre plus ou moins important. L’interpellation s’adresse bien sur ici autant aux personnes et au collectif en établissement qu’au système. Chacun comprendra aisément que les capacités d’actions auront un effet de levier différent selon que les classes comptent 35 où 24 élèves, que l’établissement est dégradé où agréable à vivre, que la restauration est qualitative où indigeste, que les personnels peuvent régulièrement se former et participer à des projets d’amélioration, qu’il y a de la disponibilité pour écouter, réguler, etc, etc….

Les référents ont également pointé quelques pistes pour lutter contre le décrochage et développer les dynamiques d’ancrochage :

 

 

Ci-après nous vous trouverez en 3 minutes le témoignage de 4 collègues qui se sont prêtés au jeu de l’interview. Merci à eux, et à Sébastien Guérineau (directeur adjoint du Lycée de Kyoto-Poitiers) pour leur participation.

Estelle Veuillerot, AgroSup-Dijon Eduter, et François Guerrier, AGROCAMPUS-OUEST

 




Produire de la connaissance en groupe de développement Agricole : La suite de TDTI à Caulnes

Dans la lignée de nos hypothèses de travail pour amener les élèves à mieux réussir les épreuves E5, E6, et E7 du bac pro CGEA, nous avons reconduit le dispositif toutes différentes toutes intéressantes (voir la saison 1).

Pour la saison 2, Vous trouverez les témoignages des élèves sur l’action toutes différentes toutes intéressantes 2018 dans la vidéo que nous avons réalisée, avec le soutien de la Collectivité Eau du Bassin Rennais dans le cadre du projet de territoire de la Haute Rance.

Pour l’année 2018-2019, l’équipe mobilisée se composera de Sandrine Poulet (agronomie), Evelyne Bohuon (biologie), Benoit Jamet (machinisme).

Suivez le lien pour accéder au témoignage complet de la saison 2 et ouverture sur la saison 3

Ci dessous la vidéo de la saison 2




Organiser des barcamps pour partager nos initiatives pédagogiques à l’EPLEFPA du Périgord.

Et si, pour mieux travailler avec les élèves, nous trouvions des modalités de mieux travailler ensemble ? De mieux connaître les pratiques des un-es et des autres ? De nous apprendre mutuellement et d’échanger sur nos pratiques respectives ?

L’idée de proposer des temps de rencontre et d’exposition des pratiques pédagogiques entre collègues au Lycée de la Peyrouse vient de Muriel Galmiche (mission de 1/3 temps « lutte contre le décrochage scolaire », et de Véronique Carbonnière (mission de 1/3 temps animation autour des usages des outils numériques.

Mais quelle modalité adopter ? A quel moment se rencontrer ?  Comment s’y prendre pour engager les collègues, leur faire de la place, donner envie de participer ?

L’idée retenue est d’exposer une pratique, une ressource, une préoccupation, sans obligation de  préparer, pour entamer un processus de dialogue et d’échanges, tout en diffusant les initiatives de chacun-nes…

Suivez le lien pour en savoir plus sur le témoignage de l’équipe de la Peyrouse !

Témoignage les barcamps de la Peyrouse  




Apprendre ensemble à partir de la diversité des lieux de stage

Dans la lignée de nos hypothèses de travail pour amener les élèves à mieux réussir les épreuves E5, E6, et E7 du bac pro CGEA, nous avons reconduit le dispositif toutes différentes toutes intéressantes (voir la saison 1).

Cette année l’idée était de pouvoir partager l’expérience avec de nouveaux collègues (3) en proposant une démarche de formation-action avec les élèves, Marion Diaz (Dialogue) et François Guerrier. Vous trouverez les témoignages des élèves sur l’action toutes différentes toutes intéressantes 2018 dans la vidéo que nous avons réalisée, avec le soutien de la Collectivité Eau du Bassin Rennais dans le cadre du projet de territoire de la Haute Rance.

Pour l’année 2017-2018, l’équipe mobilisée par l’action « Toutes différentes toutes intéressantes » se composait donc de Lydie Adam (zootechnie), Sandrine Poulet (agronomie), Evelyne Bohuon (biologie), Benoit Jamet (machinisme).

Nous avons mis en place une action de formation pour :

  • s’approprier les concepts et fondements sur lesquels se base le dispositif,
  • s’entrainer à la méthode d’animation et de questionnement inspirée du Gerdal (avec de temps d’analyse de vidéos),
  • planifier et revisiter le déroulé du dispositif,
  • repréciser les rôles de chacun,

L’objectif étant que les enseignants soient peu à peu autonomes dans l’animation de ce dispositif.

Les premiers retours marquent la réussite de l’action, avec quelques améliorations à apporter, notamment sur l’animation des deux premières séances. Là les élèves et les enseignants n’ont pas toujours su comment se positionner (attitude scolaire versus attitude professionnelle), mélange de timidité et peut être d’un manque de précisions concernant nos attentes.

Plus généralement, le fait de s’appuyer sur l’expérience de stage facilite l’engagement des élèves, chacun voulant savoir ce que son collègue a à dire. Cela permet aussi d’ouvrir un espace  d’échanges, car le fait que ce soit les élèves qui parlent de leur exploitation fait évoluer les rôles et la relation pédagogique. Ce n’est plus l’enseignant qui pilote (comme pour les visites). Là, nous parlons d’une ferme que seul l’élève connaît. Il ou elle se sent alors légitime pour s’exprimer, ils-elles osent plus et interagissent. Alors que lorsque les enseignants connaissent l’exploitation les élèves ne participent pas ou peu : « çà nous bloque »,  » ils [les enseignants] attendent des réponses précises à leurs questions » « on a peur de dire des bêtises ». Et sans doute aussi des moqueries des camarades !

Pour la rentrée prochaine nous pensons mettre l’accent sur l’apprentissage du questionnement pour mener l’enquête auprès des maîtres de stage, étaler les séances pour mieux rythmer la progression des élèves, montrer aux élèves l’intérêt de disposer de connaissances précises pour échanger, et faire en sorte que les élèves aient « plus de répondant [ndr plus de connaissances pour pouvoir engager un dialogue] » lors de la restitution, ce qui veux dire de mobiliser de la seconde à la terminale, mais aussi d’associer plus de maîtres de stage.

N’hésitez pas à nous mettre des commentaires sur la vidéo !

 




Toutes différentes toutes intéressantes ! S’entrainer à apprendre de la diversité des exploitations du territoire

Adossé à un projet de recherche-action mené conjointement par AGROCAMPUS-OUEST et le GERDAL sur les bassins versants du Couesnon et de la Haute-Rance, et ayant pour but la production de connaissances sur l’évolution des pratiques agricoles dans ces territoires, Marion Diaz (DIALOGUE/GERDAL) et François Guerrier (AGROCAMPUS-OUEST) ont accompagné deux établissements pour concevoir et animer un dispositif pédagogique pour apprendre à questionner ce qui fonde les choix des agriculteurs, à s’intéresser à l’autre et à la différence, et à apprendre à partir de la diversité des expériences de stage.

Des enseignants du lycée de Caulnes 22 (Sandrine Poulet, Erwan Bariou, Benoit Jamet, Rémi Goupil) et la MFR de Fougères 35 (Jean-François Olivier) ont pu participer à une réelle co-ingénierie du dispositif pédagogique, chacun apportant ses idées, ressources, opportunités ou façon de faire. Nous avons pu tester et faire vivre une expérience originale aux classes de Bac Pro CGEA pour les amener à travailler en groupe de développement, en les considérant (au double sens du terme !) comme des agriculteurs et agricultrices afin de produire de la connaissance au sujet des principales préoccupations de leur maitre de stage et des solutions mises en œuvre où imaginées sur le territoire. Ce faisant, ces élèves ont appris à poser et à se poser des questions, à comprendre la logique de leurs maîtres de stage et de leur système d’exploitation, à comparer différentes alternatives (alimentation, techniques, …), mais également à partager, à s’écouter et à apprendre en coopérant.

Pour en savoir plus :

Le témoignage de la MFR de Fougères et la vidéo des élèves de première Bac pro CGEA (7 minutes)

Le témoignage de l’EPLEFPA de Caulnes et la vidéo des élèves (7 minutes)

Le témoignage vidéo des intervenants : genèse, objectifs et premiers résultats (12 minutes) et les différentes étapes du dispositif (7 minutes)

E. Bariou, B. Jamet, R. Goupil, S. Poulet, LEGTA Caulnes

Jean-François Olivier, MFR de Fougères

M. Diaz, DIALOGUE, UMR ESO

F. Guerrier, AGROCAMPUS-OUEST

 




Le Théâtre Forum au CFA de Rambouillet, pour régler les conflits professionnels par le dialogue.

Depuis 3 ans, le pôle formation du CEZ-Bergerie nationale a mis en place, en partenariat avec l’association NAJE (Nous n’Abandonnerons Jamais l’Espoir), une action pour lutter contre les ruptures de contrats d’apprentissage : le théâtre forum.

Depuis 2016 cette action, « Innovation – Valeur – Citoyenneté »,  s’inscrit dans un projet régional mené en partenariat avec la DRIAAF et les établissements de l’enseignement agricole publique d’Ile-de-France.

L’objectif est de permettre aux apprentis de 2nde baccalauréat professionnel Conduite et Gestion d’une Exploitation Hippique (CGEH) d’apprendre à gérer des situations professionnelles difficiles.

Découvrez le détail de cette action, avec une très belle vidéo.

 

 




Le guide de l’accompagnement social en région des Pays de la Loire : guide pour l’action et objet de professionnalisation !

Depuis 2013, en lien avec le cahier des charges de l’offre de formation qualifiante soutenue par le Conseil Régional des Pays de la Loire, les CFPPA ont pour consigne d’assurer un accompagnement sanitaire et social pour favoriser la réussite des parcours de formation des stagiaires accueillis.

Pour assurer cette nouvelle mission, le réseau régional des CFA-CFPPA de la région Pays de la Loire a décidé de professionnaliser des référents thématiques (formateurs, accompagnateurs…) à la fois dans le but d’améliorer leurs pratiques professionnelles en matière d’accompagnement sanitaire et social, mais aussi d’être en capacité d’ouvrir cette mission à leurs collègues.

Chemin faisant, pour mieux faire connaître nos missions tout en se professionnalisant, nous avons décidé de produire une ressource, un guide simple et attractif pour donner à voir mais aussi pour servir de référence à l’accompagnement social tel que nous l’entendons dans le réseau des CFA et CFPPA de la région des Pays de la Loire.

Vous trouverez le témoignage de cette action ainsi que le pdf de notre guide de l’accompagnement social en suivant le lien : http://pollen.chlorofil.fr/toutes-les-innovations/monparam/368/

Frédérique Dubourdieu, chargée de mission du Réseau CFA-CFPPA Pays de la Loire




La semaine d’accueil au lycée de Luçon-Pétré (vidéo)

Créer les conditions du « Bien vivre » pour « bien apprendre »

Pour l’équipe éducative du Lycée de Luçon-Pétré en Vendée, le bien être personnel des apprenants est une des conditions du bien apprendre. Son expérience lui montre que les élèves bien intégrés, ayant construit des repères et des relations sociales solides dans l’établissement sont rarement « décrocheurs » et … moins difficiles. Cette construction s’inscrit dans un large processus d’accueil qui débute aux journées portes ouvertes de l’établissement et se termine avec la veillée de noël. La semaine d’accueil marque un temps fort de ce processus et synthétise plusieurs enjeux:
– Comment faire en sorte que les élèves se sentent bien dans l’établissement ?
– Comment créer du lien social entre les nouveaux et anciens élèves ? Avec tout le personnel ?
– Comment poser les règles de vie afin qu’elles soient respectées le plus rapidement possible?
– Comment détecter les difficultés/problèmes de certains élèves au plus tôt pour les accompagner ?

La semaine d’accueil mise en place par l’équipe éducative du Lycée agricole de Luçon-Pétré a comme particularité d’associer, dans sa construction comme dans son animation, l’ensemble de la communauté éducative qui se mobilise pour permettre aux jeunes de construire rapidement des repères pour bien vivre et donc bien apprendre dans le Lycée. Ce processus est également important pour faire connaissance avec les élèves et prendre des informations les concernant afin de les accompagner au mieux dans leur développement et leur scolarité.

La vidéo témoignage de la semaine d’accueil à Luçon-Pétré

Cette initiative a été repérée dans le cadre de l’action ancrochage scolaire.

Retrouvez la description complète de cette action sur cette fiche Pollen

 

 

 

 

 

 

 

 

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