Les rencontres « Paysages au féminin » du Campus Métiers Nature de Coutances : échangeons sur la place des femmes dans les métiers du Paysage

Face à une difficulté de recrutement dans la filière et au faible nombre de femmes dans les formations, le Campus Métiers Nature de Coutances mobilise les professionnels de sa région le 23 février de 13h30 à 16h30 pour s’interroger ensemble sur les difficultés et les leviers à actionner pour favoriser la mixité dans les formations et les métiers du paysage.

Ces rencontres sont organisées en 3 tables rondes pour croiser les regards de professionnelles du paysage et de chef·fes d’entreprises :

  • La première table-ronde mettra l’accent sur les difficultés rencontrées par des femmes dans leur parcours de formation et professionnel et les opportunités qu’elle ont saisies pour les surmonter ;
  • La deuxième table-ronde présentera une diversité de métiers du paysage et la mixité dans ces métiers ;
  • La troisième table-ronde s’attardera sur des métiers qui recrutent plutôt des femmes pour essayer de comprendre ce qui les attire dans ces métiers.

Charline Potin, Vice-présidente de l’UNEP, introduira les rencontres. Marion Diaz, ingénieure pédagogique de l’Institut Agro Rennes Angers animera les échanges. Anne-Marie Fixot, Professeur en Géographie à l’Université de Caen clôturera la journée en synthétisant les points saillants des échanges, et en mettant en perspective les débats au regard de la place des femmes dans d’autres métiers et dans d’autres cultures.

13h30 Accueil
14h-14h30 L’emploi des femmes dans le paysage par Charline POTIN Vice présidente départementale de l’UNEP et Mme Anne-Marie FIXOT, professeur de géographie de l’université de Caen, chercheur en Sciences humaines.
14h30 – 16h Tables rondes animées par Marion DIAZ, ingénieure pédagogique et sociologue, (Institut Agro Rennes Angers)
16h Synthèse avec Mme Anne-Marie FIXOT,
16h30 Clôture du colloque

Pour en savoir plus :

Contact : micheal.houstin@educagri.fr




Devenir ingénieur.e avec un BTS », un projet pour susciter l’ambition d’études longues au regard de l’égalité des chances !

Séminaire de clôture de l’expérimentation du dispositif « Devenir ingénieur.e avec un BTS »

Séminaire de clôture, lundi 3 juillet, 13h45 16h00, Amphi Roux – ouvert à tous·et toutes

Depuis 3 ans, l’école est engagée en partenariat avec les réseaux des lycées agricoles de Bretagne et Pays de la Loire, les Directions Régionales de l’Alimentation, de l’Agriculture et de la Forêt (DRAAF) Bretagne / Pays de Loire, et l’établissement d’enseignement supérieur Oniris (formation en agroalimentaire) dans la mise en œuvre d’un dispositif destiné à promouvoir les parcours des étudiant.es et à réussir le concours d’entrée en école d’ingénieur.

Cette action s’inscrit dans les nouveaux autres actions de coopérations enseignement supérieur et enseignement technique.

Au cours de ce projet, chaque année plus de 80 jeunes de BTS ont participé aux actions et temps forts, et une trentaine d’entre eux ont été accompagnés pour candidater aux différents concours, avec un taux de réussite très encourageant, autour de 50% !

Alors que la partie expérimentale du projet se clôture, l’équipe d’animation vous convie à un temps d’échanges et de partages le lundi 3 juillet de 13h45 à 16h en Amphi Roux à l’Institut Agro Rennes Angers. Organisé en 3 tables rondes (dispositif, effets et perspectives) et avec les témoignages des acteurs impliqués (étudiants, enseignants, direction d’établissements, représentants Draaf/Srfd), ce temps sera conclu par Thierry Langouet, directeur de l’appui à l’enseignement agricole de l’Institut Agro.

Retrouver le témoignage complet et les vidéos présentées lors du séminaire : Accédez au témoignage complet (descriptif du projet, du dispositif, les effets, résultats, conditions de réussites, témoignages vidéos : Devenir ingénieur·e avec un BTS » en Bretagne et Pays de la Loire : une expérimentation pour encourager la réflexion sur les poursuites d’études post-BTS.

Pour en savoir un peu plus et (re)voir le témoignage du CFA du Mené (Merdrignac) : Comment encourager les étudiants de BTS à se projeter dans la poursuite d’études ? Une illustration du projet « Devenir ingénieur avec un BTS » au CFA de Merdrignac (22) »

Ouvert à tous·tes
Renseignements et inscriptions auprès de marion.diaz@agrocampus-ouest.fr

Plus d’information sur le projet : https://btsa-ingenieur.institut-agro-rennes-angers.fr




Projet « CAP à l’orientation » menée avec la classe de deuxième année de CAPA Métiers de l’Agriculture et Jardinier Paysagiste du Lycée Horticole de Lomme (EPLEFPA des Flandres)

Dans le cadre du Projet « Cap à l’orientation », les élèves de la classe de deuxième année de CAPA Métiers de l’Agriculture et Jardinier Paysagiste du Lycée Horticole de Lomme ont participé pendant une semaine à des ateliers pédagogiques pour imaginer un court métrage humoristique sur la vie de l’élève stagiaire en entreprise, se questionner sur leur projet d’orientation et changer leur regard sur le monde de l’entreprise.

Ils ont contribué à un atelier participatif théâtral en compagnie de professionnels du secteur du paysage et de la production horticole pour trouver collectivement des solutions aux situations conflictuelles improvisées par deux comédiens professionnels.

Découvrez en détail ce projet !

 

Et prenez le temps de regarder pour cette vidéo très drôle et pleine de vérités !

 

 

 




Encourager les étudiants de BTS à se projeter dans la poursuite d’études ? Une illustration du projet « Devenir ingénieur avec un BTS » au CFA de Merdrignac (22) »

Le CFA de Merdrignac est engagé au côté de l’Institut Agro AGROCAMPUS-OUEST qui porte le projet d’expérimentation « Devenir ingénieur avec un BTS » pour accompagner les apprentis de BTS dans leurs envies s’engager dans une poursuite d’études longues. Une façon très concrète de créer les conditions pour contribuer à l’égalité des chances au sein du ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation.

D’une durée de 3 ans, ce projet regroupe 11 EPLEFPA et les 2 DRAAF/SRFD des régions Bretagne et Pays de la Loire. (voir : https://btsa-ingenieur.agrocampus-ouest.fr/ ).

Dés le départ, l’établissement de Merdrignac a souhaité s’inscrire pleinement dans cette action en associant tous les apprentis, pour que les jeunes, comme les adultes (y compris maîtres d’apprentissage), ne considèrent plus le BTS comme la fin d’un parcours, mais comme une étape dans la poursuite de ses ambitions. Et, pour cela, penser l’après BTS le plus tôt possible.

Une des hypothèses fortes de l’équipe éducative est d’amener les étudiants là où ils ne se seraient pas spontanément vu, et de les accompagner à gagner en estime et confiance en eux  afin qu’elles et ils se considèrent capables (avec du travail bien sûr) de réussir au-delà du BTS. C’est également une piste pour les amener à valoriser leurs potentiels et à encourager les coopérations au sein de la promotion.

L’an passé, et malgré la situation liée à pandémie plus de 120 élèves de BTS ont pu participer:

  •  à deux tables rondes, l’une orienté orientées professionnel-les (anciens étudiants) et une autre « vie de campus (avec des élèves ingénieurs en formation), soit au total 8 tables rondes organisées simultanément pour répondre à la diversité des filières (paysage, horticulture, agroalimentaire et agronome),
  • à des ateliers de développement personnel et professionnel ont été proposé aux élèves pour les encourager à se projeter ; en distance pour certaines étudiants et en classe entière et en présence pour d’autres.

Une expérimentation qui se poursuit en seconde année avec de nombreuses actions (préparation à l’oral du concoures, à l’épreuve d’anglais, à l’intérêt de résoudre des problèmes scientifiques et techniques…).

Pour en savoir plus vous pouvez consulter le témoignage en ligne et prendre connaissances des vidéos de témoignages des acteurs !

Marion Diaz – Chargée de mission d’appui pédagogique à l’enseignement agricole et aux coopérations sup/technique, L’institut Agro AGROCAMPUS-OUEST

François Guerrier – Chargé de mission d’appui pédagogique à l’enseignement agricole, , L’institut Agro AGROCAMPUS-OUEST

Bénédicte Gohard – Adjointe à la direction de la formation et de la vie étudiante, pilote du projet « devenir ingénieur »

 

 




Un travail de recherche sur la motivations et les choix d’orientation en lycée agricole, le cas de la filière agroéquipement.

Ghislain Favergeat est enseignant en agro-équipements au Campus AGRONOVA Montbrison-Précieux, dans la Loire.
Dans le cadre d’un Master 2 à l’Université Jean Monnet de Saint Etienne, il s’est penché sur les déterminants du choix d’orientation des jeunes issus de baccalauréat professionnel.
Ce Master de recherche dans le domaine des Sciences de l’Education lui a permis de rédiger un mémoire ayant pour titre : Motivations et choix d’orientation en lycée agricole. Le cas de la filière agroéquipement.
Il accepte pour Pollen de présenter ses travaux d’étude, de partager des concepts en prenant soin de relier la théorie à sa pratique quotidienne d’enseignant.

Vous trouverez dans l’animation « Genial.ly » ci-dessous une interview qui revient sur les principaux concepts mobilisés dans cette recherche, comme l’autonomie, la motivation, le sentiment d’efficacité personnel, la vocation, l’évaluation cognitive… et leur importance dans une pratique enseignante. En plus des vidéos, vous trouverez quelques QCM, des résumés, une bibliographie…

Bonne découverte !

 




La MLDS de la Vienne organise une journée pour présenter la démarche et les outils de l’ancrochage

Comment lutter plus efficacement contre le décrochage scolaire ? Sur quels leviers agir en établissement ? Quelles stratégies individuelles et collectives développer pour créer les conditions de la réussite des élèves ? Comment être vigilant à ne pas ajouter de difficultés à l’apprentissage ?

Ces questions ont pu être débattues lors d’une journée de formation organisée par la mission de lutte contre le décrochage (MLDS) de la Vienne à Poitiers le 7 février 2019 en destination des référents « lutte contre le décrochage scolaire » du département. Là,  35 Lycées professionnels et généraux, mais également collèges étaient représentés par 70 référents.

Pour animer cette journée, Laurent Scheithauer (IEN chargé de l’information et de l’orientation) et Isabelle Hérault (coordonatrice de la MLDS) avaient convié quelques acteurs de la recherche-action ancrochagne pour faire part de leurs résultats, et pour échanger sur ce que les établissements d’enseignement agricole mettent en œuvre pour faire réussir leurs apprenants.

L’intention était de sensibiliser les équipes au fait de valoriser et de renforcer ce qui est fait pour faire réussir, mais également de réfléchir aux pratiques individuelles et collectives porteuses de décrochage. Par exemple à l’occasion de situations pédagogiques, d’évaluations, de conseils de classe, dans les relations avec les jeunes mais également entre adultes, dans la cohérence entre les actes et les valeurs affichées, etc…

Autrement dit, comment aider à construire un état d’esprit, une compétence collective en établissement pour

  • s’attacher à faire accrocher les apprenants en leur proposant différentes occasions d’ancrage,
  • miser sur la prévention plus que sur le seul traitement du décrochage (qui propose le plus souvent d’externaliser les difficultés),
  • considérer les relations réciproques entre gestion de classe et apprentissages (un élève qui apprend est rarement perturbateur),
  • porter un regard analytique sur ce qui objectivement produit de l’engagement dans les apprentissages afin de mettre à distance ce qui tout aussi objectivement produit du décrochage (par exemple des repères, de la stabilité, etc…) !

Cette journée a donc permis de valoriser les travaux et les outils créés par les équipes de la recherche-action ancrochage, et partager certains points clés :

  1. L’importance de créer des situations d’apprentissages mettant en jeu les processus d’apprentissage, d’autonomisation et de socialisation,
  2. Jouer sur les effets de réciprocité entre ce qui se joue entre apprenants, apprenants et enseignants et formateurs, mais également entre adultes, avec les personnels de direction, etc…,
  3. La distinction de plusieurs échelles d’intervention, entre ce sur quoi nous avons prise individuellement, et ce sur quoi agir avec les collègues, au niveau de la classe ou de l’établissement,
  4. valoriser ce qui ce fait, ce qui existe pour en développer le potentiel,
  5. apporter du cadre et de la stabilité pour éviter de réinventer sans cesse, source de stress pour les personnes et pour les organisations,
  6. prendre le temps de travailler la cohérence des actes du quotidien avec ce que l’on essaye de développer avec les apprenants: respect, écoute, accueil, apprentissage, évaluation, confiance, estime et considération, etc….
  7. s’attacher à regarder ce sur quoi l’on a prise, à développer son pouvoir d’agir pour faire ancrocher en formulant collectivement les problèmes de façon à pouvoir les appréhender ! Par exemple : Considérons-nous le décrochage comme résultant des difficultés scolaires (les élèves n’ayant pas le niveau, ils vont décrocher) ? Où nous interrogeons-nous sur la possibilité de l’engagement des élèves en tenant compte de leurs difficultés (intéresser en les prenant là où ils sont tout en permettant à chacun de se développer ?) ? En fonction de la façon dont la communauté éducative se situera, elle se considéra agissante sur un périmètre plus ou moins important. L’interpellation s’adresse bien sur ici autant aux personnes et au collectif en établissement qu’au système. Chacun comprendra aisément que les capacités d’actions auront un effet de levier différent selon que les classes comptent 35 où 24 élèves, que l’établissement est dégradé où agréable à vivre, que la restauration est qualitative où indigeste, que les personnels peuvent régulièrement se former et participer à des projets d’amélioration, qu’il y a de la disponibilité pour écouter, réguler, etc, etc….

Les référents ont également pointé quelques pistes pour lutter contre le décrochage et développer les dynamiques d’ancrochage :

 

 

Ci-après nous vous trouverez en 3 minutes le témoignage de 4 collègues qui se sont prêtés au jeu de l’interview. Merci à eux, et à Sébastien Guérineau (directeur adjoint du Lycée de Kyoto-Poitiers) pour leur participation.

Estelle Veuillerot, AgroSup-Dijon Eduter, et François Guerrier, AGROCAMPUS-OUEST

 




A Avize, la création d’un portfolio numérique pour organiser des ressources documentaires

Suite à la participation à une réunion d’échanges portant sur l’expérimentation d’un portfolio numérique, Christelle MOUY, enseignante en français au Lycée d’Avize, décide de se lancer dans l’expérience en testant cette pratique avec ses élèves de BTS LMD (Licence Maîtrise Doctorat). Son objectif : Remplacer le dossier documentaire de français version papier par un portfolio numérique pour mettre en commun et analyser des ressources.

Voir la description complète.

 

 

 

 

 

 

 

 

 




Accompagner les apprenants pour leur permettre une bonne orientation professionnelle

La réussite scolaire et le devenir professionnel des jeunes sont au cœur des préoccupations de l’enseignement agricole. Cette volonté de la réussite de toutes et tous se décline notamment à travers l’orientation et l’accompagnement des jeunes tout au long de leur parcours de formation.

Partant du constat que les élèves réussissent mieux s’ils sont en mesure de se projeter, de donner du sens à leur formation et de disposer de ressources pour faire leur choix d’orientation, le réseau national insertion égalité, dans la continuité de ses actions pédagogiques est actuellement engagé dans deux projets :

Ces deux actions s’appuient sur des pratiques déjà expérimentées et proposent un travail qui associe :

  • un état des lieux des outils et des dispositifs utilisés par les établissements,
  • un diagnostic du ressenti des acteurs (apprenant-es, parents et équipe éducative),
  • la mise en place d’actions spécifiques.

Le temps d’enquête et d’analyse est particulièrement utile pour objectiver les pratiques d’accompagnement mais aussi les besoins des apprenants, afin de sortir des discours parfois convenus et de passer à la réalisation d’action novatrices pour les établissements concernés. Certaines actions, en cours de formalisation, seront prochainement diffusées sur Pollen.

Un concours européen de réalisation de courtes vidéos sur le thème de la représentation des métiers, a été organisé (accéder aux productions des élèves ). Ce travail permet à la fois de rendre de mutualiser la vision qu’ont les apprenant-es de leur métier futur, et de les amener à développer les compétences nécessaires pour faire de bons choix d’orientation. Toute équipe désirant travailler sur la représentation des métiers avec ses classes dispose ainsi d’une banque de 200 vidéos sur 35 secteurs d’activités.

Pour 2013-2015, 25 établissements issus de 14 régions françaises sont impliquées à différents niveaux dans ces 2 projets qui soutiennent des dynamiques régionales ou interrégionales : Aquitaine, Basse Normandie, Bourgogne, Bretagne, Centre, Champagne Ardenne, Corse, Guadeloupe, Il de France, Languedoc Roussillon, Lorraine, Pays de la Loire, PACA et Poitou-Charentes).

Pour encourager la diffusion des outils et ressources, partager et améliorer les pratiques d’accompagnement en établissements, un séminaire ouvert aux établissements engagés dans TOI et GAIA, mais aussi plus largement aux établissements d’enseignement et de formation agricoles se tiendra le 29 septembre 2015 à l’École Nationale Vétérinaire d’Alfort.

Pour s’inscrire à ce séminaire, nous vous invitons à renseigner le formulaire d’inscription en ligne avant le 15 septembre 2015 (les frais de déplacement et le repas de midi sont à la charge des participants non engagés dans un des deux projets TOI ou GAIA). Ls inscriptions seront validées dans la limite des places disponibles.

Si vous souhaitez en savoir plus sur ces actions, nous vous invitons à visiter le site internet de TOI-GAIA ou contacter le réseau national insertion-égalité.

 

Anne Giraudel
Co-animation du réseau - BVIE/POFE/DGER 
Ministère de l'agriculture et de l'agroalimentaire et de la forêt
CFPPA
Route de la Roche
79500 MELLE
Tél : 05 49 27 59 48
Mail : anne.giraudel@educagri.fr

 

 

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Le blaireau pour apprendre la nature.

L’enseignement d’exploration d’éducation à l’environnement (EATDD) au programme cette année de la classe de seconde GT du lycée Henri Queuille de Neuvic a mis en lumière un animal encore méconnu de nos campagnes, le blaireau.

Le blaireau est une espèce sauvage qui a souffert de la lutte contre la rage dans les années 70 à 80 et qui est aujourd’hui chassée pour juguler les dégâts sur les cultures ou sur les infrastructures et les risques d’épidémie. Pour ses détracteurs, cette espèce sauvage doit rester à l’écart de l’homme pour ne pas entraver ses activités, c’est un nuisible qu’il faut réguler. Cette posture qui consiste à opposer la nature et l’homme mérite d’être questionnée surtout chez des élèves qui se destinent à travailler dans la nature.

 

Lire la description complète de cette action…

 

 

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