Des capsules vidéos pour éclairer des concepts clés de l’économie des filières alimentaires (RMT Filarmoni)

Ce travail est le fruit d’une coopération enseignement technique/enseignement supérieur, recherche et développement agricole, initié dans le cadre du réseau mixte technologique (RMT) Filarmoni agréé par la DGER.

Les 18 partenaires du réseau ont décidé d’inscrire explicitement un axe de travail pour s’intéresser au transfert et à l’appropriation des connaissances nouvelles en économie des filières alimentaires en direction des acteurs de l’enseignement et du développement agricole ; En particulier les élèves apprentis et stagiaires de la formation initiale et continue.

L’action entend produire plusieurs types de livrables, notamment une série de capsules vidéos de 2 à 15 minutes, ciblant des concepts et notions-clefs pour appréhender l’économie des filières alimentaires, facilement accessibles en ligne via la chaîne du RMT Filarmoni.

A ce jour, 10 capsules vidéos sont réalisées et testables. A celles-ci s’ajoutent 2 vidéos relatant des retours d’expériences de conduite de projet d’études de filières alimentaires par des élèves ingénieurs de dernière année, et une vidéo « je filme la filière qui me plait » réalisée par les élèves de BTS du lycée de Limoges-les Vaseix avec  leur enseignante de SESG (Magali Cubizolle).

Pour en savoir plus sur l’expérimentation n’hésitez pas à consulter le témoignage portant sur la démarche d’ingénierie et à revenir vers nous si besoin.

La liste des capsules actuellement en ligne sur la chaîne du RMT Filarmoni.

Capsules « concepts et notions clés en économie de filières alimentaires »

Cours

Je filme la filière qui me plaît

Aude Ridier, enseignante-chercheure en économie, l’Institut Agro Rennes Angers et animatrice du GT4 « pédagogie’ du RMT Filarmoni,

François Guerrier, ingénieur pédagogique et chargé de missions nationales d’appui pédagogique pour l’enseignement agricole, l’Institut Agro Rennes Angers,

Février 2022 – mise à jour 31/08/2022

Exemple : les coûts de production par Yannick Carel de Arvalis

 

 

 




Un documentaire « Plus jamais l’indifférence » au LPA d’Aumont

« Plus jamais l’indifférence » est un documentaire de 9 minutes retraçant le voyage d’étude de 6 élèves de Terminale en novembre 2019 à Auschwitz en Pologne. De ces 2 jours passés à visiter les 2 camps d’extermination, accompagnés par les guides du Mémorial de la Shoah, les élèves ont collecté une série de vidéos ainsi que leur propres témoignages sur leurs ressentis, leurs émotions, sorte de bilan avant/après.

 

 

 

Découvrir la description complète de cette action

 

 

 

 

 

 

 

 

 




GLYPH’EAU Comment répondre à la société sur la question du glyphosate ? EPLEFPA des Sardières.

L’agriculture de conservation vit actuellement une crise : ayant fait figure de nouvelle agriculture (abandon du labour), elle est désormais pointée du doigt en raison de sa dépendance au glyphosate ; cette dépendance tend, dans le débat actuel, à prendre le dessus en termes d’image, sur les externalités pourtant appréciables (biodiversité, sol, temps de travail).

Les BTS ACSE ont été sollicités par un agriculteur en agriculture de conservation pour l’aider dans sa communication auprès du grand public. Ils ont travaillé pendant 15 jours pour répondre à la problématique « agriculture de conservation et glyphosate : que répondre à la société sur la question du glyphosate ? ».

Des temps d’enquêtes et d’échanges auprès d’une diversité d’acteurs ont permis d’explorer la complexité de la controverse et ont permis d’élaborer des réponses, illustrant différentes positions d’acteurs et différentes stratégies de conduite de systèmes de culture, chacune plus ou moins dépendante du glyphosate et plus ou moins durable dans leur rapport aux ressources communes et au territoire.

Découvrez en suivant ce lien la présentation détaillée de cette démarche, avec de nombreuses pièces jointes !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 




Repas gastronomique et décoration champêtre au lycée de la Haute-Somme.

Tous les ans, au début de l’automne, les élèves de seconde SAPAT mettent en place un midi le « repas gastronomique » à la cantine.
Au cours de ce repas à thème, les élèves de seconde sont en charge de l’installation/décoration du réfectoire, de la confection du repas avec l’équipe de cuisine, du service à table et du débarrassage.

Les élèves sont mis en situation « grandeur nature » afin d’acquérir des compétences professionnelles au cours d’un moment convivial partagé entre l’ensemble des membres du personnel de l’établissement.

 

Découvrir en détail le fonctionnement de ce projet pédagogique

 

Et cette action en mode animation vidéo !


 

 

 

 

 




« 1 2 3, 4 filles aux fourneaux » : un projet cooperatif pour developper la capacite professionnelle « realiser des activites de vente » en classe de capa sapver à Ahun.

EN CAPa SAPVER, faire réaliser des ventes aux élèves ou aux apprentis en établissement, c’est assez ordinaire. Mais quand le projet de vente est pensé pour responsabiliser les apprenants et leur faire prendre en main le projet de bout en bout, pour permettre d’apprendre en faisant et pas juste de faire, alors la dynamique est différente.

A Ahun, les apprenties répondent au défi de proposer et mettre en place un projet consistant à vendre aux pauses du matin et de l’après-midi des boissons et de la nourriture en privilégiant des produits locaux, de qualité et les filières courtes. Elles baptisent leur projet « Filles aux fourneaux ».

Ce projet représente une véritable illustration de la pédagogie Freinet : en effet, non seulement les apprenties produisent pour d’autres, mais elles le font ensemble, dans la coopération et elles construisent les techniques et les connaissances qui sont nécessaires à l’avancée de leur projet. Les regards et la place de chacun, apprentis et adultes, évoluent au fur et à mesure.

 

 

 

 

 




Une entreprise virtuelle pour préparer le Trophée National des Lycées Agricoles, au lycée du Robillard.

Au lycée agricole, du Robillard, dans le Calvados, plusieurs enseignants ont choisi de développer une pédagogie de projet avec comme objectif la participation au TNLA, le Trophée Nationale des Lycées Agricoles. Ici c’est toute la classe qui est investie et qui s’organise sous la forme d’une entreprise virtuelle.

 

Regardez cette vidéo pour apprécier leur motivation !

 

Retrouvez cette action en détail avec trois vidéos :

  • la vidéo des différents « services« ,
  • la vidéo des BTS 2
  • et bien sûr la vidéo des enseignants.

 

Cette action sera présentée lors d’un atelier des deuxièmes rencontres nationales de l’innovation pédagogique de l’enseignement agricole.

 

 

 

 

 

 

 

 

 




La pédagogie de projets comme axe éducatif pour le CAP MA de la Ville Davy

L’établissement de la Ville Davy est situé près de Saint-Brieuc, dans les Côtes d’Armor. Il compte 520 élèves, de la 4ème au BTSA. Parmi ces élèves, ceux de CAPa MA (métiers de l’agriculture) préparent  leur diplôme selon la voie scolaire. Il s’agit d’un public très majoritairement masculin, pas toujours très motivé par l’idée d’apprendre selon la forme scolaire « classique ». Ils ont besoin de repères concrets et pratiques, mais aussi de se dépenser physiquement autant qu’intellectuellement. C’est pourquoi, profitant de la rénovation de la formation CAPa, l’équipe pédagogique a fait le choix de proposer des créneaux horaires dédiés à l’animation de projets pédagogiques pour répondre à leurs attentes. L’hypothèse est de créer les conditions pour amener les élèves à construire du sens dans leurs apprentissages, et pour ensuite leur donner envie d’en savoir plus en matière de connaissances dites « générales ». Comme nous le rapportent Yves Robert et Françoise Rouxel, cette approche s’appuie sur les « centres d’intérêts » des élèves. Après un premier témoignage s’appuyant sur un projet qui était à l’initiative de l’équipe enseignante l’an passé, ils nous présentent une seconde réalisation qui s’inscrit dans l’approche générale de leur pédagogie de projets comme stratégie structurante de leur dispositif de CAPa rénové.

Pour consulter en détail la fiche témoignage

 

Françoise Rouxel, enseignante et coordinatrice du CAP MA à la Ville Davy

 

 

 

 




Faire apprendre à partir « des centres d’intérêts » des élèves à la Ville Davy

L’établissement de la Ville Davy est situé près de Saint-Brieuc, dans les Côtes d’Armor. Il compte 518 élèves, de la 4ème au BTSA. Parmi ces élèves, ceux de CAPa MA (métiers de l’agriculture) se préparent à leur diplôme selon la voie scolaire. Il s’agit d’un public très majoritairement masculin, pas toujours très motivé par l’idée d’apprendre selon forme scolaire « classique ». Ils ont besoin de repères concrets et pratiques, mais aussi de se dépenser physiquement autant qu’intellectuellement. C’est pourquoi, profitant de la rénovation de la formation CAPa, l’équipe pédagogique a fait le choix de proposer des créneaux horaires dédiés à l’animation de projets pédagogiques pour répondre à leurs attentes, afin de créer les conditions pour les amener à trouver du sens dans leurs apprentissages, pour ensuite leur donner envie d’en savoir plus en matière de connaissances dites « générales ». Comme nous le rapportent Yves Robert et Françoise Rouxel, cette approche qui s’appuie sur les « centres d’intérêts » des élèves fait également le lien avec les apprentissages « professionnels et académiques ». C’est à travers le témoignage d’un exemple de réalisation (une vitrine pour identifier les matières premières utilisées dans l’alimentation des animaux d’élevage) qu’ils nous présentent leur pratique pédagogique de projet qui rappelle a de nombreux égards les démarches proposées par le pédagogue Ovide Decroly.

Le témoignage de l’action prenez de la graine.

Yves Robert, enseignant de zootechnie à la ville Davy

Françoise Rouxel, enseignante de mathématique

François Guerrier et Jean-François Le-Clanche, Agrocampus-Ouest




Comment favoriser un débat constructif entre élèves sur la question controversée du loup ?

Les nouvelles orientations politiques du Ministère de l’Agriculture promeuvent l’agro-écologie et invitent les établissements d’enseignement agricole à développer des innovations dans le champ de « l’éduquer à produire autrement ». Le dialogue qu’elles proposent entre la protection de l’environnement et les enjeux liés à la production est parfois à la source de tensions et de conflits entre les acteurs concernés. Les dégâts générés par le loup dans les systèmes pastoraux des Hautes-Alpes ont ainsi donné lieu à des débats houleux et des manifestations parfois violentes sur le territoire du lycée agricole. Ces débats ont diffusé dans l’établissement conduisant parfois les élèves à des prises de position marquées soit en faveur, soit contre le loup, sans qu’un véritable dialogue soit initié.

En s’appuyant sur sur les fondements de la didactique des questions socialement vives (questions qui font l’objet de vifs débats dans le monde scientifique, dans la société et dont les élèves sont généralement informés) et sur une approche d’apprentissage coopératif, la méthode dite CLIM (Cooperative Learning In Multiculturality) l’équipe enseignante a réussi à apaiser les tensions et à développer l’esprit critique des élèves.

 

Voir la fiche complète,
avec ce témoignage vidéo de 13 minutes qui donne la parole aux élèves et à l’équipe pédagogique.

 

 

 

 

 

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