Segae : un sérious game pour l’agrocécologie … à travailler sans modération en pluridisciplinarité !

Comment produire une alimentation de qualité en quantité suffisante tout en réduisant ses impacts sur l’environnement ? L’agroécologie est porteuse de solutions prometteuses pour atteindre ces objectifs, mais nécessite d’accéder à des raisonnements complexes et systémiques. Comment favoriser ces apprentissages ? Mieux comprendre et prendre plaisir à jouer des interactions ?  Comment faciliter l’approche systémique, la multidisciplinarité et la gestion des transitions ?

Pour contribuer répondre à ces défis, l’Université de Liège-GemblouxAgro-Bio Tech, l’Université d’Agriculture de Cracovie, l’Université de Bologne, ONIRIS, l’ESA et AGROCAMPUS OUEST ont conçu un jeu éducatif en ligne: SEGAE.

Les joueuses-eurs gèrent une ferme virtuelle et mettent en œuvre des pratiques agroécologiques afin d’améliorer sa durabilité. Quatre fermes-types européennes sont proposées: française, italienne, belge et polonaise. Le jeu s’adresse aux enseignants d’universités, de lycées agricoles, ainsi qu’aux conseillers agricoles en formation continue. Financé par le programme ERASMUS + et la Chaire AEI, ce jeu est accessible gratuitement en ligne en 6 langues (anglais, espagnol, français, italien, néerlandais et polonais) et les partenaires mettent à disposition les tutoriels, guide pédagogique et cours en ligne.

Le grand plus : il est en anglais, ce qui permet de concilier pratique professionnelle et approche des langues en pluridisciplinarité !

Sur ce lien pour en savoir plus et vous inscrire à la session de lancement en ligne du mercredi 16 décembre de 14h à 15h30

 




Comment accompagner les élèves dans leurs apprentissages professionnels dans les ateliers technologiques ?

Le LEA ENILVEA porte sur la place et le rôle des ateliers technologiques dans les dispositifs de formation professionnelle et dans les apprentissages et les parcours des apprenants.

Une première dimension porte sur la mise sous observation des usages pédagogiques actuels des ateliers. L ’équipe de chercheur a observé et filmé plusieurs demi-journées de mise en situation des élèves dans les différents ateliers et réalisé des entretiens avec des élèves, des « moniteurs » et le directeur des ateliers. Elle a proposé une première « modélisation » du regard des élèves sur ces mises en situation, ainsi qu’une typologie de différentes modalités d’intervention pédagogique dans les ateliers.

Une deuxième dimension porte sur l’expérimentation d’actions et d’outils visant des évolutions de ces usages. La mise en œuvre d’un outil d’(auto)-évaluation des apprentissages a montré qu’elle s’avérait difficilement utilisable en l’état lors des mises en situation dans les ateliers et lors de séances de préparation et de débriefing de ces mises en situation. Elle a conduit à l’élaboration d’un outil complémentaire d’aide à l’explicitation du vécu en atelier, qui sera expérimenté cette année.

Jean-François Métral

Plus d’informations :

https://eduter-recherche.fr/comment-accompagner-les-eleves-dans-leurs-apprentissages-professionnels-dans-les-ateliers-technologiques/

http://ife.ens-lyon.fr/lea/le-reseau/les-differents-lea/enilvea

http://www.enilv74.org/




Questionner, formaliser, se documenter : Les ACSE développent leurs compétences clés au Lycée du gros chêne (Pontivy 56)

Suite à une journée d’information sur différentes expériences menées en région Bretagne pour enseigner à produire autrement le 12 octobre 2018, une expérience réalisée à Caulnes et présentée par Sandrine Poulet, expérience visant à amener les élèves à poser et à se poser des questions et à produire de la connaissance en groupe de développement, a rejoint des préoccupations de l’équipe enseignante qui intervient en BTSA.

En effet, depuis quelques années, ces derniers expriment à la fois :

  • Des difficultés de plus en plus récurrentes dans la mise en activité des étudiants, avec un décrochage qui s’opère sur le premier trimestre de la première année et qui dégrade le climat de travail. Ces difficultés sont attribuées à la fois :
    • A un manque de mise en cause, de mise en question, de curiosité,
    • d’efforts, une logique de consommation des cours, l’absence de prise de note, de formalisation des apports,
    • une forme de paresse intellectuelle à aller chercher à la source, à vérifier, à développer un esprit critique et de comparaison,
    • Mais également à la difficulté pour les enseignants à construire un dispositif cohérent et qui puisse faire sens pour les adultes et donc pour les élèves.
  • Autre élément de contexte, les premières années (ACSE1) n’ont pas d’évaluation dans les 6 premières semaines au retour des vacances, et l’enjeu est de les remettre/mettre dans un rythme de travail.
  • Par ailleurs, le codonateur de la filière, un pilier de la formation BTSA ACSE, part prochainement à la retraite. C’est l’occasion de partager sur la conduite du BTSA ACSE et de formaliser pour que chacun puisse trouver sa place l’an prochain et s’approprier le dispositif et partager la responsabilité pédagogique d’ensemble. L’enjeu serait donc de profiter de son expertise pour construire le ruban et le formaliser pour être prêt en septembre 2019.

L’équipe s’est donc donnée le temps de travailler et d’anticiper sur cette rentrée à venir (septembre 2019) en commençant à échanger de novembre 2018 à mai 2019 …

Le témoignage que nous vous proposons relate le cheminement de l’équipe. Et, dans un but de partage et d’échanges, il est illustré de nos documents et réflexions, outils, et traces de nos travaux qui pourront sans doute être utile comme matière à des collègues qui travaillent également ces questionnements.

Bonne Lecture !

Lucie Lejeanne, enseignante d’agronomie au lycée du gros chêne à Pontivy et François Guerrier, Agrocampus-Ouest.

Questionner, formaliser, se documenter : Les ACSE développent leurs compétences clés au Lycée du gros chêne (Pontivy 56)




Apprendre de et par le travail avec l’analyse des SPV l’entretien au sosie en BTSA Aquaculture

C’est une histoire de rencontre, de (re) connaissance, qui est à l’origine de l’action. Lors d’une formation sur le site de Beg Meil, Armelle Lainé, chargée de missions d’appui pédagogique à Agrocampus-Ouest, cherchait des équipes pour tester une démarche pédagogique à partir d’une adaptation de l’instruction au sosie.

Florence Eugène, enseignante en économie et gestion au lycée de Fouesnant-Bréhoulou était avec ses collègues confrontés à une réforme introduisant un travail sur les Situations Professionnelles Vécues, les SPV à faire faire aux étudiants.

En marge de cette formation, les projets et hypothèses de l’une ont rencontré les questionnements de l’autre et réciproquement. La proximité géographique et relationnelle et l’intérêt pour l’expérimentation et l’innovation pédagogique à fait le reste.

Le témoignage ci-après présente le cheminement de l’équipe de BTSA aquaculture du Lycée de Fouesnant-Bréhoulou pour préparer efficacement les étudiants à la nouvelle épreuve E7.2.

Accompagné par Armelle Lainée, chargée de missions d’appui pédagogique à Agrocampus-Ouest, Florence et ses collègues de l’équipe « aqua » en M11 ont œuvré pour construire une situation pédagogique qui ne soit pas seulement orienté vers la réussite d’une épreuve scolaire, mais qui s’attache à faire sens pour les étudiants en les amenant à développer des capacités pour apprendre des situations de travail.

A partir d’échanges et de discussions, de tests et d’évaluations, ils sont arrivés à une organisation satisfaisante, et qui reste un travail ouvert et en question pour apporter de nouvelles améliorations. Leur regard sur l’action a également évolué, d’une logique initiale où il était question de répondre à un exercice imposé et réglementaire, à la construction d’un dispositif pour construire des capacités pour « apprendre à apprendre » dans et par le travail.

C’est de cela que nous proposons de rendre compte en revenant à la fois sur l’origine du projet et de la démarche, reposant les hypothèses et intentions de départ, puis en illustrant l’action et les améliorations successives apportées, et à venir.

Accéder au témoignage intégral

Florence Eugène, enseignante d’économie et de gestion, EPLEFPA de Fouesnant-Bréhoulou (29)

Armelle Lainé, chargée de missions d’appui pédagogique à l’institut Agro, Agrocampus-Ouest

François Guerrier, chargé de missions d’appui pédagogique à l’institut Agro, Agrocampus-Ouest

Avril 2020




Découvrir les 11 Posters de présentation des projets CASDAR TAE+ 2019

L’appel à projets « Transition agro-écologique des exploitations agricoles et ateliers technologiques de l’enseignement agricole » s’inscrit dans le plan « Enseigner à produire autrement » du projet agro-écologique du ministère de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt.

Cet appel à projet vise à accompagner les efforts de transformations et d’amélioration des exploitations agricoles et ateliers technologiques des établissements d’enseignement agricole pour donner à voir et à expérimenter des formes d’agricultures agroécologiques (conciliant des performances économiques, environnementales, sociales, mais également en soutien de pratiques territoriales agroécologique

Ces projets contribuent à :

Les équipes lauréates de l’appel à projets CASDAR TAE+ 2019 vous proposent de prendre connaissance des posters de présentation de leurs CASDAR TAE+ 2019. Ces posters ont été rédigés par les chef-fes de projets de ces CASDAR avec l’appui et le soutien de Aude Guitton, chargée de mission « projets agro-écologiques » à l’Institut Agro – Florac, et la relecture des accompagnants des équipes projets.

Consulter ces posters à l’adresse suivante : https://wikis.cdrflorac.fr/wikis/casdartae/wakka.php?wiki=PosTers2019

Pour en savoir plus, voir le site de capitalisation des projets CASDAR TAE  (posters, fiches techniques, mutualisation de leurs actions en atelier, témoignage d’acteurs en vidéos, livret 20p de synthèse des résultats…)

Contacts :

Aude Guitton – Chargée de mission « projets agro-écologiques »

L’institut Agro – Florac – Service Agriculture, Environnement et Territoire

Secrétariat : 04 66 65 65 65




Les apports de la didactique professionnelle à la formation professionnelle par Patrick Mayen

La 5e vidéo de la série « Des repères pour enseigner autrement » explore le champs de la didactique professionnelle et son apport à la formation professionnelle. Patrick Mayen, professeur émérite en Sciences de l’éducation et de la formation, y expose ici un de ses fondements : il peut y avoir un développement humain par la formation au travail à partir des situations de travail.

Résumé de la vidéo

Face aux évolutions importantes du travail et de la formation professionnelle, parfois déstabilisateurs pour les acteurs, P. Mayen nous donne des repères quant à l’analyse et l’usage des situations de travail pour construire des situations et des parcours de formation, en pensant leurs potentiels d’apprentissage.

Questionnant le dogme de l’approche par les compétences et prenant à rebours les injonctions actuelles à intégrer et travailler des compétences transversales, y compris en formation professionnelle, il propose d’adopter radicalement la dimension située de toute compétence. Pour l’aborder d’une manière opérationnelle, il repart de la définition de ce qu’est un professionnel compétent et nous oriente vers une approche par les situations. Ce faisant, il donne un regard original sur les questions posées par la formation en alternance, par la validation des acquis de l’expérience ou encore par la formation et l’évaluation en situation de travail.

De manière contre-intuitive, il nous explique comment cela redonne toute sa place aux savoirs, dans une voie de formation où le rapport aux savoirs des apprenants est souvent difficile. De même, à un moment où les normes socioprofessionnelles demandent aux formés et aux travailleurs d’être toujours plus réflexifs, il suggère de les outiller avec des outils des sciences du travail (entretiens d’explicitations, instruction au sosie…) pour les aider à se préparer et à vivre plus consciemment leur expérience professionnelle et pouvoir en parler, l’analyser et la développer.

C’est avec une approche similaire à l’analyse des situations de travail pour la formation, qu’il envisage le développement des compétences sociales des individus à partir d’une analyse des situations sociales et des situations de la vie. A une époque où l’intelligence humaine est menacée par les systèmes techniques et l’appauvrissement du travail qu’ils provoquent, c’est donc à une vraie réflexion sur l’éducation tout au long de la vie qu’il nous invite.

Profitez de la gratuité de nos ressources pédagogiques en ligne jusqu’en juillet 2020 pour visionner l’entretien complet ! Plus d’informations : http://bit.ly/libreacces

Auteurs : Christèle Roux et Jean-François Metral Réalisateur : Vincent Ducrot

Plus d’informations : https://bit.ly/EntMayenVOD 

Durée : 56 min

Disponible actuellement en Vidéo en ligne sur editions.educagri.fr, bientôt en DVD

Christèle Roux, Agrosup Dijon Eduter, mai 2020




Enseigner à produire autrement : entre empêchements et puissance d’agir

L’accompagnement de la transition agroécologique fait l’objet, dans l’enseignement agricole, du projet stratégique « Enseigner à produire autrement » (EPA) qui vise à mettre en cohérence les finalités (produire autrement) et les moyens d’y arriver (enseigner autrement pour produire autrement). Accompagnatrice d’équipes pédagogiques engagées dans ce plan, Isabelle Gaborieau à pu se rendre compte de leurs difficultés à se saisir de cette prescription.

L’objet de la recherche qu’elle nous présente vise, par l’analyse de l’activité d’enseignants, à mieux comprendre leurs embarras, empêchements mais aussi leurs réussites et ce, dans un diplôme emblématique de l’enseignement agricole : le baccalauréat professionnel « Conduite et gestion de l’entreprise agricole » (CGEA).

A l’appui de deux cadres théoriques, la didactique professionnelle et le cadre théorique du courant pédagogique constructiviste « Enseigner autrement » dans lequel la problématisation et la psychanalyse de la connaissance sont fondamentales, sa thèse vise, Aller à la page Thèsesdans un premier temps, à formaliser l’environnement idéel et prescriptif de l’enseignement agricole comme composante agissante des situations avec lesquelles les enseignants doivent faire.

Son analyse aboutit également à la formalisation du système de représentations et d’action des enseignants, qui, mis au regard de ce que serait le développement de la puissance d’agir des jeunes dans une perspective agroécologique, permet de construire l’esquisse d’une structure conceptuelle de la situation EPA en bac pro CGEA. Celle-ci ouvre sur des pistes pour accompagner au mieux les enseignants dans le cadre des transitions.

Vous pouvez télécharger un résumé de cette thèse et la version complète. Vous trouverez d’autres thèses sur Pollen au menu Recherche & Pédagogie.

 

Nous vous proposons de prendre connaissance des principaux résultats de ce travail avec cette interview d’Isabelle Gaborieau (compter 30 minutes environ). Vous pouvez également naviguer par séquences.

 

Séquences

Le contexte de recherche

 

Un système de tensions

 

Les points de vigilance pour enseigner à produire autrement

 

La puissance d’agir

 

Les points de vigilance pour enseigner à produire autrement

 

 

Interview et réalisation : François Guerrier, AGROCAMPUS-OUEST, L’institut Agro mars 2020.

 




Le film et les chiffres du trophée Hackathon !

Un hackathon de 26h00, c’est …

  • 7 équipes de 7 établissements proposant 7 projets d’internat de rêves,
  • 35 élèves mais aussi 158 kg d’AE, 421 de CPE, 723 kg de DNA,
  • 93 litres d’eau, 8 de jus d’oranges, 104 oranges pressés, 5kg de cerveau brouillé et 15 litres de café !
  • 4000 cm de paperboard, 1 canne, des abeilles, 1288m de feutre rouge, une perruque, un plan architecte et une maquette au 1/100
  • 1345 minutes de fous rires, 746 minutes de rigolades et 1563 kg de sourires
  • 1 jury,
  • 1 inspecteur, 1 chef de bureau, 1 chargée de mission,
  • 3 animatrices de réseau, 4 établissements du DNA
  • 1 directeur d’établissement, 2 élèves et 1 conseillère principale d’éducation,
  • Élodie et toutes les bonnes volontés de la Bergerie Nationale

pour en autres

François Guerrier, AGROCAMPUS-OUEST, février 2020




Les vidéomatons du Hackathon « Internat de rêves »

A l’occasion du Hackathon « internat de rêves » les différentes équipes, mais aussi les promoteurs du dispositif, les membres du jury, se sont prêtés au jeu de témoigner sur cet événement au travers de 5 questions :

  • Que faites-vous ?
  • Pourquoi êtes vous venus ?
  • L’internat de rêves en trois mots clés ?
  • Ce qui vous a surpris ?
  • Avec quoi vous repartez ?

L’occasion de donner à voir des appréciations parfois convergentes, et parfois différents…

En attendant les images des productions finales et magistrales de chacune des équipes (un peu de teasing…), nous vous livrons le vidéomaton de l’hackathon !

Encore un grand merci et bravo à toutes celles et ceux qui ont oeuvrés pendant ces 26 heures !

 

L’équipe d’Albi Fonlabour

L’équipe de Beaune la Rolande

L’équipe de Neuvic

L’équipe d’Amiens Le paraclet

L’équipe de Sées

L’équipe de Vendôme

L’équipe de Toulouse-Auzeville

Et l’interview du jury et des organisateurs !

 

François Guerrier, AGROCAMPUS-OUEST, pour l’équipe Hackathon internat de rêves  janvier 2020

 




La pédagogie expérimentale dans la dynamique SAGER au Lycée de Fouesnant Bréhoulou (29)

Cheffe de projets de partenariat pour l’EPLEFPA de Brehoulou (29), Amélie Tagliaferro nous présente l’action SAGER dont elle coordonne l’animation.

Plus qu’un projet, SAGER est une dynamique née de problématiques territoriale rencontrées par les aquaculteurs, sur des enjeux  de qualité d’eau, mais aussi depuis quelques années de quantité d’eau du fait de périodes d’étiage plus longes et plus basses. Cette préoccupation amène à imaginer, construire et tester de nouveaux systèmes, plus résilients et moins gourmands en ressources (eau, énergie, matériaux).

Dans le cadre de cette dynamique qui s’inscrit pleinement dans le plan EPA2, la serre Medusa est actuellement en cours de finition. Si sa conception et et sa construction associe déjà les élèves et étudiants, l’enjeu est surtout de pouvoir accueillir et accompagner des porteurs de projets dans des expérimentations concrètes et produire des références étayées et fiables avant de lancer la production à taille réelle.

Pour les apprenants du Lycée, dans le contexte de transition vers l’aqua-écologie, l’enjeu est au moins triple :

  • Il s’agit d’apprendre et de développer ses capacités en testant et en expérimentant pour éprouver ses connaissances en action, et apprendre à agir en situation professionnelle,
  • C’est également de vivre « l’expérience de l’expérimentation » comme une situation professionnelle au même titre que d’autres ; En y prenant plaisir, c’est une façon de construire ses capacités à faire évoluer ses conceptions pour innover et s’adapter en fonction des situations,
  • Dans l’action de travail, c’est enfin l’occasion de permettre du dialogue en inter filière entre les mondes professionnels aquacoles et agricoles qui sont concernés par la ressource « eau ».

En attendant que les élèves finalisent les travaux de gros œuvre de la serre avec leur enseignants, l’heure est à la recherche de partenariats pour équiper la serre Medusa et accueillir les premiers porteurs de projets qui attendent de pouvoir lancer leurs expérimentations. Pour en savoir plus, nous vous invitons à écouter le reportage consacré à la présentation de la dynamique et de l’équipement présent sur le site : lien vers la vidéo de présentation de la dynamique par Amélie Tagliaferro :

François Guerrier, Agrocampus-Ouest

Amélie Tagliaferro, EPLEFPA de Fouesnant-Bréhoulou (29)

janvier 2020