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Le jardin Logicurieux des Ecoresponsables de Coutances : un lieu pour expérimenter et échanger sur l’agroécologie

EPELFPA de Coutances – Campus métiers natures, Normandie

La Quibouquière
Rue de Regnéville
CS 70722

50207 COUTANCES CEDEX

Tél : 0233194110
Site web : https://www.campusagri.fr/
Responsable : Karen Saccardy , legta-coutances@educagri.fr
Rédacteur de la fiche : Nadège Bénard Capelle et Laetitia Specht EPLEFPA de Coutances et Marion Diaz et Armelle, Laine-Penel l’Institut Agro rennes Angers, Enseignantes au Campus Métier Nature de Coutances
, nadege.benard-capelle@educagri.fr

DESCRIPTION SYNTHETIQUE DE L’ACTION

A l’origine : un jardin support d’échanges et de créativité autour de l’agroécologie

Le jardinage : outil de médiation entre jeunes et adulte en lien avec les projets de l’établissement

Nadège Benard Capelle a été par le passé enseignante en horticulture et paysage en ITEP (Institut Thérapeutique Educatif et Pédagogique). De cette expérience, elle retient que des liens et des échanges peuvent se nouer plus facilement autour du jardin et du travail de la terre. En effet, selon Martel et Wagon (2022, p.45, cité par Gibert (2022)) « la compréhension de ce phénomène complexe qu’est la nature fait appel à une « volonté d’agit de l’enfant, de faire expérience, manipuler, observer, tatonner (…) L’habileté pédagogique de l’enseignant réside dans la manière d’étayer et de complexifier ses apprentissages en nature tout en étant centré sur les intérêts et initiatives des élèves et en laissant la place au jeu, à l’exploration, à la créativité. »

Différentes études sociales médiatisées montrent en effet que le jardin est un lieu d’échanges, d’inclusion (voir par exemple (Delesque, 2021) et qui peut également être thérapeutique. Au-delà de ces intérêts sur les relations sociales entre élèves et entre jeunes et adultes, le jardin peut être un lieu de création ou l’on apprend tout en prenant plaisir à travailler.

Lorsque la direction de l’établissement lui a proposé d’animer un groupe d’écoresponsables, elle a donc accepté à condition de créer un jardin partagé, et co-géré entre les écoresponsables et elle-même.

Il s’inscrivait d’ailleurs très bien dans la continuité de projets menés dans l’établissement : le CADAR Paysalim et le CASDAR BiodivExpé. Paysalim est un projet CASDAR qui implique plusieurs établissements (Coutances, chef de file, EPLEFPA D’Evreux, EPLEFPA de Tour Fondette, EPLEFPA de Saint Lô Thère), des structures de développement et des collectivités autour du développement de paysages alimentaires. Il s’agit de valoriser sous forme alimentaire des espaces d’agrément et de recréer du lien social par le jardin et la co-gestion de ces jardins. Le Jardin Logicurieux se retrouve pleinement dans cet esprit et tente de sensibiliser les « apprenants écoresponsables » à faire du bon et du beau. Il ouvre en effet des perspectives vers un jardin d’ornement à production fruitière et légumière et une initiation à la permaculture et à l’agroforesterie à très petite échelle. Cet espace aménagé permet également l’étude de la biodiversité des espèces, du milieu et à son évolution, notamment par la mise en place de protocoles d’inventaires validé dans le cadre du projet Biodiv’Expé.

L’idée était donc de développer un support pour pouvoir faire comprendre aux écoresponsables l’agroécologie et la transition agroécologique par l’action et l’expérience mais aussi de disposer d’un lieu à partir duquel il serait possible de communiquer, de transmettre ces approches via des échanges ou des ateliers durant les temps scolaires et extra-scolaires, et via des dégustations de récoltes issues du jardin et de l’exploitation horticole du lycée.

Une conception par et pour les jeunes, accompagnés par différents acteurs de l’équipe éducative

Le groupe de jeunes volontaires écoresponsables a conçu et présenté ce projet à l’équipe de direction en 2022, ainsi qu’aux responsables d’exploitation en s’appuyant sur un plan de masse du jardin. Une fois l’idée validée, le choix du lieu a été discuté avec deux contraintes principales à prendre en compte :

  • L’accessibilité du site pour permettre aux jeunes d’y travailler en dehors des heures de cours et le week-end.
  • La proximité du matériel (situé au SIRAP : site d’initiation aux travaux paysagers)

Les élèves impliqués sont essentiellement des élèves de seconde qui ont plus de temps libre que les autres lycéens Il s’agit d’un « dispositif relais » : les écoresponsables impliqués la première année le sont moins l’année n+ 1 et les nouveaux entrants prennent le relais. Bien souvent, ce sont des élèves que Nadège Bénard Capelle a en classe, ou des élèves qui ont des compétences spécifiques comme la maitrise de pratiques agroécologiques, le bricolage et qui souhaitent les mettre à profit du jardin. Ils se réunissent de façon hebdomadaire pour se mettre d’accord sur les actions à mettre en œuvre et peuvent travailler en autonomie sur le jardin dès que leur emploi du temps le permet.

L’animation de ce projet est assurée par Nadège Bénard Capelle, enseignante en aménagement paysager, avec l’appui de la Direction et de Bertrand Castel, le responsable jardin pour la proposition du lieu et pour permettre l’accès aux outils en l’absence de Nadège Bénard Capelle. Autour de ce noyau, des relations sont entretenues avec les chefs de projets de l’établissement (Paysalim, BiodivExpé, Label 3D…), d’autres enseignants et formateurs et les CPE pour mettre en œuvre de la dimension transformation/dégustation du projet ou la communication autour du projet comme des enregistrements radio autour du jardin Logicurieux. Cette articulation au sein de l’établissement permet une valorisation des actions et réflexions mises en œuvre par les écoresponsables lors de la journées Santé Développement Durable, qui concernent toutes les classes de seconde professionnelle, durant le mini salon ou en classe

Mais avec des objectifs pédagogiques et éducatifs précis

Sur le plan pédagogique, Nadège Benard Capelle fait le lien avec les référentiels de formation. Elle considère en effet le jardin Logicurieux comme

  • un lieu de visualisation des principes de l’agroécologie, un concept qui peut parfois paraître flou pour les jeunes. Il s’agit de concrétiser ces principes par la pratique sur un lieu dédié ;
  • un lieu d’expérimentation de différentes techniques agroécologique, et notamment de la permaculture, avec une attention particulière portée à la fertilité du sol et à l’interaction entre une diversité d’espèces (entre plantes d’ornement et plantes alimentaires, entre différentes strates, entre biodiversité animale et végétale…) ;
  • un lieu d’échange et de socialisation ;
  • un lieu où les jeunes peuvent développer leurs idées en autonomie, un espace de liberté et de créativité permettant de « gagner en confiance en soi ».

D’un point de vue pédagogique et éducatif, ce jardin permet de sensibiliser les écoresponsables à l’agroécologie, à partir de leurs idées, de leurs envies pour initier un développement écoresponsable vis à vis des autres et de la nature… cette année, les écoresponsables ont pu réaliser des essais de plantation, des observations des aménagements. Tout l’enjeu pour l’enseignante est de développer la curiosité des apprenants par l’action et l’expérimentation, d’où son nom…

Présentation du Jardin Logicurieux : un jardin permacole accessible et ouvert

Les principes fondateurs du jardin Logicurieux

Le jardin Logicurieux s’organise autour de 3 principes :

  • Partir le plus possible des idées des élèves: ce principe posé dès le départ par l’enseignante-animatrice a pour but de favoriser l’engagement des élèves, l’appropriation de cet espace et leur autonomie ;
  • Récupérer localement, limiter le gaspillage, recycler: devant le peu de moyens disponibles, et en cohérence avec les missions des écoresponsables, le jardin Logicurieux est conçu à partir de matériaux de récupération, que ce soit pour les palettes servant à la confection de la cabane, pour le dôme géodésique récupéré du jardin de l’établissement, les planches de bois facilitant à la circulation sur les buttes ou encore les plants et les semences issus des restes de l’exploitation horticole ou des travaux pratiques mis en œuvre dans le cadre des formations.
  • Faire du bon, du beau et du bio, dans le prolongement du projet Paysalim : pour cela, il s’agit d’abord d’associer les différentes cultures (cultures d’ornement, cultures alimentaires, agroforesterie). Les jeunes sont également encouragés à tester différents aménagements et pratiques agroécologiques issus de la permaculture en portant une attention particulière à l’amélioration de la fertilité des sols (couverture permanente, apports de matière organique). Enfin, les évènements organisés sur l’établissement sont autant d’occasions pour les écoresponsables de proposer des ateliers sur le jardin et de faire goûter les produits du jardin et des produits de la ferme en proposant de petites transformations (Séchage de plantes aromatiques, soupes de légumes oubliés, pesto d’ail des ours…). Ces animations attirent les élèves et permettent d’aborder l’écologie via la pratique et le plaisir gustatif.

Localisation et organisation du jardin

De taille modeste (200 m2), le jardin Logicurieux se situe à l’est de l’EPL. La localisation s’est faite sur 3 critères : l’accessibilité permanente par les apprenants, la proximité du tas de compost et la proximité des arbres fruitiers.

Plusieurs espaces peuvent être distingués dans ce jardin :

  • Deux carrés potagers en « lasagnes » (F) ont été créés pour y faire des semis et des plantations (A sur le plan). On parle de lasagnes car le sol est enrichi par couche : les jeunes ont tout d’abord creusé légèrement des carrés pour ensuite déposer une couche d’herbe issue de la tonte des espaces verts du lycée, puis une couche de feuilles mortes, puis de nouveaux une couche d’herbe puis de feuilles mortes Ces différentes sources de matières organiques sont complémentaires pour nourrir le sol et les plantes de façon équilibrée.
  • Une serre géodésique (E voir photo ci-dessous) a été récupérée au jardin pour cultiver notamment les légumes/ et fruits ayant besoin de soleil, comme les aubergines, les pastèques, Insérer Photo Sphère Géodésique
  • Une fosse empierrée (C) pour emmagasiner la chaleur,
  • Un séchoir à aromatiques de 3 m: structure en saule comblée par un mélange terre-paille (A) pour maintenir la fraîcheur pour le stockage/ séchage d’aromatiques.
  • Une butte pour les choix et les dahlias (G)
  • Une tour à pommes de terres en piquets de bois et plessis de saule (D)
  • Un alignement de pommiers à couteaux (H)
  • Un plessis sur buttes en saule pour protéger du vent (i)

Les jeunes sont accompagnés lorsque qu’ils initient de nouveaux gestes techniques (par exemple vannerie, bouturage, technique du pisé), mais dès qu’ils ont acquis les bases, ils peuvent intervenir en autonomie sur le jardin. La présence d’un adulte est cependant requise pour certains travaux pour des raisons de sécurité (débroussaillage, tonte et usage d’outils thermiques).

Des objectifs globalement atteints

Pour donner un aperçu des effets perçus par l’enseignante référente et les jeunes, nous revenons sur les objectifs de l’action dans le tableau ci-dessous (cliquer pour agrandir).

Des questions qui se posent…

Si les résultats sont satisfaisants, des questions persistent sur l’organisation matérielle, l’appropriation du jardin au-delà des seuls écoresponsables, ou encore au sein de l’équipe pédagogique.

Organisation matérielle de l’activité

Le problème principal identifié par l’enseignante référente est la discontinuité des actions : les élèves sont disponibles en seconde, mais à partir de la première et surtout en terminale, on observe des changements de centres d’intérêt entre la seconde et la terminale, et surtout une focalisation sur les examens. Il faut donc relancer la dynamique à chaque rentrée, avec les nouveaux entrants mais aussi pour tenter de maintenir des anciens, ou de recruter des nouveaux en première et terminale. Bien qu’agréables, les actions pour mobiliser les jeunes sont parfois très chronophages.

Enfin, les moyens consacrés à cette action sont réduits et peuvent poser problème. Par exemple, l’utilisation du matériel du SITRAP peut perturber l’organisation des cours et générer des conflits au sein de l’établissement du fait de la concurrence sur le matériel. De ce fait, il a été décidé d’interdire l’utilisation des outils thermiques. Il est également envisagé d’investir sur des outils dédiés au jardin. Autre exemple, les écoresponsables n’ont pas de local pour entreposer leurs boutures et leurs semis : un accès aux serres pourrait être envisagé pour cela. Enfin la distance entre le point d’eau et le jardin reste importante, ce qui pousse les écoresponsables à trouver des solutions techniques pour maintenir l’humidité des sol (couverture permanente, oyats).

Développer la mobilisation des jeunes de l’établissement

Actuellement, le recrutement des écoresponsables se fait essentiellement dans la filière aménagement. Se pose donc la question suivante : comment élargir à la filière production horticole et au maraîchage, sans ajouter de charge de travail non rémunérée aux enseignants de ces filières ?

Et au-delà du recrutement de nouveaux écoresponsables, le développement d’une communication plus régulière via des animations et des temps de dégustation pourraient être envisagées pour favoriser les échanges et débats autour de la transition agroécologique.

Dimension pédagogique et éducative

Pour Nadège Bénard Capelle, cette activité lui a permis de revoir ses habitudes de travail : elle part d’avantage des connaissances des apprenants pour les accompagner dans la construction de nouvelles connaissances. Elle s’appuie également sur les expérimentations conduites dans le jardin pour étayer ces propos et illustrer ces cours. Si l’enseignante responsable est actuellement seule à encadrer les écoresponsables, l’élargissement de l’équipe pédagogique est envisagée.

Conclusion et perspectives

Une démarche transposable facilement

En conclusion, nous soulignons que cette action a été mise en place avec très peu de moyens sur la base de la récupération, ce qui la rend transposable à d’autres établissements très facilement. Quelques conditions sont cependant à réunir pour favoriser la mise en place d’une telle expérimentation :

  • L’appui de l’équipe de direction et l’intégration dans les projets de l’établissement pour faciliter l’accès à un lieu, favoriser la gestion d’éventuelles concurrences sur le matériel, favoriser la valorisation du travail des écoresponsables dans différents évènements ;
  • Une communication permanente avec les différents collègues impliqués ;
  • Une articulation avec les projets existants qui légitime ce projet et permet un rayonnement plus important ;
  • Une articulation avec les cours quand cela est possible pour formaliser les apprentissages (cf. point suivant)

Une démarche d’apprentissages informels pour les jeunes et pour les adultes

Enfin, la comparaison entre les perceptions de l’enseignante référente et les écoresponsables montre que les objectifs pédagogiques de l’enseignante ne sont pas connus des apprenants. Il n’en reste pas moins que ces derniers apprennent (comme en attestent les explications que les écoresponsables donnent sur tous les sous-espaces constituant le jardin) dans ce contexte hors classe et hors heures de cours. On peut donc considérer que ce jardin comme un espace d’apprentissages informels (Brougère et Bézille, 2007) dans lequel les apprentissages existent, mais ne sont pas intentionnels du côté des jeunes : Ils sont un co-produit de la réalisation de leurs projets d’aménagement et de gestion de cet espace.

Cette démarche met en évidence un intérêt à mobiliser les apprenants dans des travaux de terrain informels pour faire expérience. Elle invite les élèves impliqués à entreprendre, développer des idées, oser tester et faire des choses à leur rythme, sans enjeu de résultat précis, ce qui permet aussi l’engagement des jeunes. Ces écoresponsables apprennent des choses dans l’action sans avoir conscience de ce qu’ils apprennent réellement et sans chercher à vérifier la validité de ce qu’ils croient avoir compris. Un des points de vigilance de l’enseignante est de reprendre les observations, les expérimentations, leur réflexion pour les confronter, en vérifier la validité, pour éclairer et étayer les connaissances acquises.  Une phase d’institutionnalisation est donc nécessaire

  • pour reprendre les malentendus, les interprétations erronées et formaliser des savoirs valides.
  • pour se doter d’outils d’interprétation et véritablement apprendre de l’expérience.

Les perspectives pour 2023-2024 : ouverture et approfondissement

Le premier prolongement envisagé concerne l’ouverture du jardin aux apprenants des CFA-CFPPA du campus Métiers Natures, en s’appuyant sur un des écoresponsables qui poursuit ses études au CFA et sur la coopération déjà mise en place entre Nadège Bénard Capelle et Christophe Cahu, formateur en maraîchage au CFPPA.

Plusieurs développements sont envisagés l’année prochaine pour approfondir la réflexion des apprenants autour de l’agroécologie:

1) Agrandir le jardin pour développer les surfaces cultivées en plantes aromatiques, et en faire un lieu de travail en pluridisciplinarité avec les enseignants de chimie et de mathématiques. Préciser les objectifs et les objets de travail sur lesquels vous souhaitez coopérer ?

2) Pour évaluer la biodiversité associée au jardin, des inventaires de biodiversité en lien avec Laetitia Specht, chargée du projet BiodivExpé, dans le prolongement de ce qui est déjà engagé (cf. Encadré 1)

3) Pour travailler sur l’effet des pratiques agricoles sur le sol, des observations comparatives de la structure, de l’humidité, de la composition entre le sol du jardin et celui de parcelles adjacentes.

4) Enfin, en ce qui concerne les techniques d’aménagement en permaculture et agroforesterie, il est envisagé de faire appel à des experts pour nourrir la réflexion des écoresponsables de conseils techniques approfondis.

Encadré 1 : inventaires de vers de terre sur le jardin Logicurieux réalisés dans le cadre de BiodivExpé

 

Des mesures de quantité de vers de terre/m2 (avec leurs spécificités) sont réalisées pour comparer les différentes zones du jardin logicurieux : la fosse, la sphère géodésique, le carré à droite et l’entrée (sol piétiné, avec aucun apport de matière organique). Voici les résultats obtenus

 

  • Sur les trois zones du jardin logicurieux une moyenne de moyennes à 230g de VDT/m3 avec une excellente répartition 1/3 endogés, 1/3anéciques et 1/3 épigés
  • Résultats de chaque zones : fosse : 410 g/m3 / sphère géodésique : 280g/m3 / carré à droite : 230g/m3 / entrée du jardin : 0.

Références citées

Brougère G. et Bézille H., 2007, De l’usage de la notion d’informel dans le champ de l’éducation, Revue française de pédagogie. Recherches en éducation, (158), p. 117‑160. DOI : 10.4000/rfp.516

Delesque G., 2021, L’Ecole Jardin: anthropologie, histoire et pédagogie des jardins collectifs et familiaux. Normandie Université.

Gibert A.-F., 2022, Apprendre en anthropocène. Eduquer à la biodiversité. IFÉ – ENS de Lyon. Repéré à https://veille-et-analyses.ens-lyon.fr/DA-Veille/HS-septembre-2022.pdf

Auteures :

Nadège Bénard Capelle, enseignante au Campus Métier Nature de Coutances, responsable du projet des écoresponsables, coordinatrice pédagogique du projet Paysalim,

Laetitia Specht, enseignante au Campus Métier Nature de Coutances,

Marion Diaz et Armelle Laine-Penel, ingénieures d’appui à l’enseignement technique agricole à l’Institut Agro rennes Angers

FICHIERS A TELECHARGER

Descriptif : Plan simplifié du jardin logicurieux
plan-simplifie-jardin-logicurieux.pdf

VIDEOS

Mots-clés : Agroécologie, Motivation, engagement, Pédagogie de projet

Voie de formation : Formation initiale
Niveau de formation : IV (Bac pro, Bac général)
Initiative du dispositif : Locale
Structure d’appui : Etablissement National d’Appui
Etablissement National d’Appui : Agrocampus Ouest

Référent : Emmaneul Bon ,emmanuel.bon@agriculture.gouv.fr

Etat de l’action : En cours
Nature de l’action : Innovation

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