Save the date : Participez à l’école chercheur sur les jeux sérieux pour l’action en agriculture environnement et territoire 16 au 20 juin 2025 à Clermont-Ferrand

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Vous pourrez ainsi :
• Comprendre l’ensemble des étapes d’un jeu sérieux : de l’idéation à la diffusion, en passant par la conception, l’ingénierie, les aspects juridiques ou encore la valorisation.
• Mettre en œuvre concrètement un jeu sérieux pour l’action en équipe et bénéficier du partage d’expériences.
• Élargir vos réseaux de partenariats

Vous êtes intéressé.e par les jeux sérieux pour l’action ?
Vous êtes chercheur.e, enseignant.e ou actrice.eur du développement ?
Participez à la première formation consacrée aux jeux sérieux pour l’action, dans les champs de l’agriculture, du territoire et de l’environnement ! : Concevoir, mobiliser, diffuser des jeux sérieux pour l’action en agriculture environnement et territoire, du 16 au 20 juin 2025 à Clermont-Ferrand

Les jeux sérieux pour l’action se distinguent des jeux visant une acquisition stricte de connaissances. Ils visent à construire des situations pour agir et transformer le réel d’une situation. Ils amènent à faire des choix, prendre des décisions en situation complexe, organiser la concertation…. A ce titre ils ont une dimension capacitance. Ils permettent donc d’aider à réfléchir à des situations complexes, amener à se poser des questions, créer des liens entre apprenants, donner du sens aux enseignements, améliorer le climat de travail, développer des capacités d’analyse systémique, prendre plaisir à débattre, justifier, argumenter, expérimenter, …

Les jeux sérieux sont une source d’inspiration pour la pratique pédagogique. Ils permettent également de proposer en peu de temps une situation qui ancre les apprentissages dans une dynamique pragmatique de résolution de problème qui fait sens, le but du jeu étant liée aux buts d’apprentissages. Pour en savoir plus, nous vous indiquons ci-dessous quelques exemples de réalisation dans l’enseignement agricole en partenariat avec les acteurs de la recherche ou du développement.

Cette action de formation est inscrite au plan national des formations pour l’enseignement agricole public en accompagnement des actions d’innovation pédagogiques . L’offre de stage est actuellement en cours d’enregistrement sur la plate-forme Renoirh. Renseignement : francois.guerrier@agrocampus-ouest.fr




Une situation réelle pour apprendre à caractériser un système de culture, mesurer sa durabilité et appréhender la complémentarité entre les productions (MFR Ferté-Macé)

Échanges autour de pratiques apprenant.es
Ouvert à toutes et tous, le deuxième webinaire de témoignage et d’échanges avec les acteurs du projet CASDAR TANGGO a eu lieu le mardi 3 décembre de 11h à midi.

Carol Wandewalle, formatrice à la MFR de la Ferté Macé, nous présentera une situation d’apprentissage qui permet de s’appuyer sur une situation réelle pour apprendre à caractériser un système de culture, mesurer sa durabilité et appréhender la complémentarité entre les productions. Ce dispositif associe un public de BTS ACSE et le Groupe DEPHY CIVAM de la Rouvre animé par les CIVAM.

Pour revoir la présentation de Carol avec le chapitrage

Revoir les précédents webinaires Tanggo (chapitrés) :
Marina Pizzala, coordinatrice du BTS ACSE à Coutances présente le dispositif mis en place avec les BTS ACSE 2 et le GIEE Autonomie de la Manche (et ses collègues) autour du module M59 « Conception d’un système biotechnique innovant » .

Le CASDAR TANGGO.

Ce projet, piloté par la Chambre d’agriculture de Normandie, se déploie en Normandie et en Bretagne entre septembre 2023 et septembre 2027. Il associe 13 établissements de l’enseignement agricole (9 en Normandie, 4 en Bretagne) et 20 collectifs agricoles animés par les Chambres d’agriculture, des CIVAM ou des CUMA, les DRAAF-SRFD des deux régions, l’Institut-Agro Rennes-Angers et le Gerdal. Il vise à :
• Favoriser la circulation des connaissances produites dans les collectifs agricoles en transition vers l’agroécologie,
• Concevoir et valoriser des dispositifs pédagogiques avec le double objectif d’apprentissage (approche capacitaire) et d’ancrochage des apprenants,
• Susciter l’intérêt des jeunes pour ces collectifs en particulier dans une perspective de transition agroécologique.
Pour en savoir plus vous pouvez contacter :
• Marion Diaz, François Guerrier, l’Institut Agro Rennes-Angers
• Manon Hardelay, Chambre d’Agriculture de Normandie
• Emmanuel Bon, DRAAF de Normandie
• Emmanuelle Zanchi, DRAAF de Bretagne
Crédits Photos : Aurélie Lajoye, Gabriele Fortino, Zeineb Bessaidi




Nos déchets, les ressources de demain

Nos élèves sont « nés » avec des pratiques de tri mais ont peu conscience de l’ampleur de la problématique des déchets et des enjeux écologiques auxquels la société doit faire face. Or, nous sommes confrontés à un problème de ressources sur la planète, et les déchets peuvent être une partie de la solution. Bien triés ils peuvent devenir des ressources.  Ainsi, à partir d’un sujet à la fois familier et inconnu pour surprendre et intéresser nos élèves, nous avons monté un projet pédagogique qui s’inscrit pleinement dans le référentiel de formation du baccalauréat général. A savoir : Comment appréhender des concepts scientifiques en écologie et en biologie, développer un raisonnement global sur un problème écologique, tout en y associant une dimension d’ouverture et de comparaison internationale. Ce projet s’inscrit dans le cadre d’un Erasmus avec l’Italie. Pour en savoir plus et découvrir les différentes étapes de ce projet, suivez le lien ci-après : Nos déchets, des ressources pour demain.

Dominique Geffroy-Sourd enseignante de biologie-écologie,

Sylvie Malgorn enseignante en espagnol,

Armelle chargé de missions nationales d’appui pédagogique à l’enseignement agricole, Enseignantes

Mai 2024




Adaptations et alternatives aux néonicotinoïdes sur betteraves sucrières avec une classe de BTS ACSE du lycée agro-viticole de Crézancy.

La problématique de l’utilisation des néonicotinoïdes (NNI) en production betteravière, est un sujet important et brûlant en région Picarde, première productrice de betteraves sucrières en France. Le Plan National de Recherche et d’Innovation (PNRI), mis en place pour trouver des solutions alternatives à l’usage des NNI, a donné l’opportunité à des apprenants et à leur enseignante, de travailler sur un dispositif expérimental, d’en comprendre les tenants et les aboutissants et de le valoriser pédagogiquement.

La classe choisie est celle des BTS ACSE que l’enseignante en agronomie était sûre de garder sur le cycle entier. Le projet s’est déroulé sur les heures de cours d’agronomie. Les étudiants ont mené des actions diverses telles que repérage du site, installation du dispositif d’expérimentation, comptages, réunion, … En fonction de critères choisis par les étudiants, critères qui intégraient les connaissances acquises lors des différentes séances et leur vécu (sur leur exploitation familiale ou exploitation de stage), un arbre de décision “arrêt ou non de la betterave sur l’exploitation”, a été réalisé, puis sujet à débat.

Les premières actions ont débuté en mars 2022 pour se terminer en juin 2023. Cette séquence pédagogique s’inscrit dans le cadre d’un projet expérimental national (PNRI Betteraves sans NNI) où 7 établissements d’enseignement et de formation agricole sont associés à la fois pour conduire des expérimentations sur parcelles et des séquences pédagogiques permettant de former les apprenants aux solutions alternatives aux néonicotinoïdes en culture de betteraves sucrières.

Découvrez avec ce lien la présentation détaillée de cette séquence, dans le cadre de ce dispositif expérimental.

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Identifier les enjeux liés à la suppression des NNI en betterave sucrière et découvrir les alternatives aux NNI testées sur l’EPL de l’Oise en filière STAV

Dans le cadre du module S1 « Gestion des ressources et de l’alimentation », j’ai travaillé avec la classe de STAV sur la problématique de l’arrêt des néonicotinoïdes (NNI) dans la filière betterave sucrière. Mes objectifs étaient de préparer les élèves à l’épreuve terminale S1 du bac STAV et de les préparer à l’épreuve de Grand Oral en les confrontant à une Question Socialement Vive (QSV).

Le travail s’est déroulé en 2 temps (8h en Première pour réaliser le projet, 8h en Terminale pour accompagner les jeunes à une présentation orale devant un public averti). Cette séquence pédagogique s’inscrit dans le cadre d’un projet expérimental national (PNRI Betteraves sans NNI) où 7 établissements d’enseignement et de formation agricole sont associés à la fois pour conduire des expérimentations sur parcelles et des séquences pédagogiques permettant de former les apprenants aux solutions alternatives aux néonicotinoïdes en culture de betteraves sucrières.

Découvrez cette séquence !




« Evaluer et reconcevoir un système de culture » : collaboration entre BTSA APV et ACSE au service de l’exploitation en grandes cultures et cultures d’industrie du Campus Agroenvironnemental 62 – Site d’Arras

L’adaptation des cultures au contexte pédoclimatique est incontournable. Quand on y ajoute à cela des problématiques environnementales (réduction des intrants, des émissions de gaz à effet de serre …), le choix se complexifie, une expertise technico-économique devient alors nécessaire.

Face à ces enjeux il est apparu important de développer la réflexivité chez nos étudiants en BTSA APV dans le cadre du projet Ecophyto’TER. L’exploitation du Campus Agroenvironnemental 62 – Site d’Arras a été notre support de travail privilégié.

L’objectif principal de ce projet est simple : recréer du lien entre la pédagogie, l’exploitation du campus et le territoire via différents outils permettant l’évaluation et la reconception du système de culture de l’exploitation en favorisant l’implication des étudiants.

Découvrez en détail ce projet !

 

Retrouvez sur cette page le sommaire des témoignages réalisés dans le cadre d’Ecophyto’TER

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 




Des couverts végétaux d’été : un peu, beaucoup, à la folie, pas du tout … ? à l’EPL du Tarn

L’innovation est de conduire à la fois un projet pédagogique avec plusieurs classes, des partenaires diversifiés et qui s’inscrit dans le « Projet Agroécologique de la France », décliné dans le « Plan Enseigner à Produire Autrement pour les Transitions et l’Agroécologie : EPA2 ».

Le grand objectif est la réduction des pesticides, qui est une priorité nationale mais sujet à controverses. La mise en place de couverts d’été pourrait permettre de limiter le salissement pendant les intercultures tout en maintenant la fertilité des sols.

La mise en place d’une réflexion autour de ce projet peut entraîner des ruptures de schéma de pensée mais aussi permettre de penser, inventer, construire, agir. Ce projet s’inscrit dans le projet d’établissement et le projet d’exploitation.

Le projet a permis de mettre en place une parcelle d’expérimentation de couverts végétaux d’été sur l’exploitation du lycée, de l’implantation jusqu’à la destruction avec un travail en amont de réflexion et d’échanges entre les apprenants et les différents acteurs.

Découvrez en détail ce projet !

 

Retrouvez sur cette page le sommaire des témoignages réalisés dans le cadre d’Ecophyto’TER

 

 




Une pédagogie de projet pour sensibiliser les BTSA ACSE du LEGTA de Rethel à la conduite lors des stages

Les étudiants du BTSA ACSE de Rethel veulent sensibiliser les apprenants aux risques liés à la conduite sur route d’engins agricoles. Leur intention est de générer une attestation validant un niveau de préparation à un code de la route dédié grâce à une plateforme appelée COX ouverte à tous les lycéens du MASA.

Un projet pluridisciplinaire sur une thématique transversale, la mise en sécurité des jeunes en stage.

 

Découvrez en détail l’organisation pédagogique de ce projet

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 




Les « bibis » de Coconi : diversité et rôles des petits animaux, par les 1ère CGEA du lycée agricole de Mayotte

Les 1ère CGEA du lycée agricole de Coconi ont animé un stand lors de la fête de la nature (pilotée par le réseau EEDD, Education à l’Environnement et au Développement Durable) et lors de la journée agro-écologie de l’EPN. Le thème portait sur les petits animaux vivant dans nos jardins et nos exploitations, les fameux « bibi » en shimahorais.

L’objectif du stand était de montrer aux petits (élèves de primaires) comme aux plus grands (lycéens) qu’il y a une grande diversité de bibis, et que tous ont un rôle ! D’où l’importance de mieux les (re)connaître afin de mieux les protéger.

Des auxiliaires de culture ont été présenté de façon à valoriser les bibis pour les agriculteurs dans le cadre de la lutte biologique et la réduction de l’utilisation des produits phytosanitaires.

Découvrez cette pédagogie de projet motivante pour les élèves de 1° !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 




Des Oyas, des Bananas Circles et des coopérations pour les CAPA du lycée agricole de Coconi à Mayotte

A travers plusieurs échanges sur des méthodes agroécologiques avec des partenaires de la coopération régionale, des projets se sont monté autour des classes de CAPA 1 et 2 ARC et MA du lycée agricole de Coconi (Mayotte) qui sont des filières peu valorisées au sein de l’établissement.

Ils avaient pour objectifs : d’expérimenter des méthodes nouvelles (Oyas, Bananas Circles) en rendant totalement acteurs les élèves, en leur permettant d’accéder à des pratiques innovantes, en faisant intervenir des chargés de mission, des partenaires extérieurs, et en bousculant les méthodes d’apprentissage.

Découvrez en détail cette expérience pédagogique « grandeur nature » !

 

Rapide présentation mais 2 autres vidéos très complètes vous attendent…