Préparer son PLEPA au Lycée de la Baie du Mont Saint Michel

Le projet d’établissement est actuellement en refonte au lycée de la Baie du Mont Saint Michel. De premières propositions d’orientation existent de la part de l’équipe de direction. Par ailleurs, l’établissement est engagé dans la mise en œuvre d’une action « CASDAR TAE+ » pour réfléchir avec l’ensemble de la communauté apprenante et les partenaires du territoire, à la résilience de l’élevage laitier.

Dans ce contexte général, l’établissement doit réfléchir à animer sa dynamique autour du Plan Local Enseigner à Produire Autrement  (nom de code : « PLEPA Epa2 »).

Une des pistes était de s’inscrire dans les prémisses des axes déjà imaginées par l’équipe de direction dans le cadre de la refonte du projet d’établissement. Toutefois, pour l’équipe d’animation du PLEPA Epa2, partir des 4 axes de l’ancien projet d’établissement risquait fort d’orienter les débats et devenir le cadre des discussions, et non d’en faire une proposition à discuter.  Il faut donc essayer de trouver un autre angle d’attaque qui soit la moins enfermante possible, mais qui permette pourtant d’aboutir à une production tangible et opérationnelle : les personnels ayant à cœur -en particulier avec le contexte de Covid-19- de ne pas s’enliser sur des réunions sans décisions, où chacun prend du plaisir à parler mais où les acteurs ont le sentiment que rien n’avance réellement.

Pour tenir l’équation complexe, l’équipe d’animation composée de Thierry Cherel (directeur adjoint en charge du Lycée), Amandine Bedin (Cheffe du projet Casdar TAE+) et Frédérique Lecarpentier (Responsable de l’animation des écodélégués), l’équipe d’animation a posé quelques principes d’action au regard de leur situation d’établissement :

  • Une recherche de valorisation et de reconnaissance de ce qui se fait déjà dans l’esprit d’EPA2
  • L’envie de partager les moments d’échange autour de l’EPA2 avec les apprenants de l’EPL (lycéens, étudiants, adultes et apprentis),
  • Un besoin de mieux comprendre ce que porte/fait chacun (personnels lycée et CFA) pour renforcer les coopérations et les possibles mutualisations,
  • Définir des critères pour aider à définir et orienter et prioriser les actions « EPA2 » de l’EPL,
  • La nécessité de produire un cadre qui puisse apporter de la cohérence et un confort au travail : porteur de sens et de cohérence, dans la durée (repères, sécurisation, confiance),
  • Un cadre de travail pour animer la démarche.

 

Pour accéder aux retours écrits et  en vidéos, nous vous invitons à consulter le témoignage de l’EPLEFPA de la Baie du Mont Saint Michel ici : https://pollen.chlorofil.fr/toutes-les-innovations/monparam/3758/

Rédaction : Thierry Cherel, Amandine Bedin, Frédérique Lecarpentier (EPLEFPA de la Baie du Mont Saint Michel) et François Guerrier (L’institut Agro, Agrocampus-Ouest, référent CASDAR TAE+)

Remerciements : Emmanuel Bon, Marion Diaz et toutes et tous les participant-es !

Les élèves :

 

Les animatrices :

 

Le chef de projet :

 

Le référent régional :

 

François Guerrier, L’institut Agro, Agrocampus-Ouest, février 2021




PayZZage ! le jeu du puzzle paysager développé par l’UMR BAGAP et le centre Inrae de Bretagne-Normandie, au service de l’agriculture, de la biodiversité et du paysage

PayZZage est développé par l’UMR BAGAP et le centre Inrae de Bretagne-Normandie (Gilles Martel, Estelle Meslin, Audrey Alignier). Son but est de réfléchir au rôle des agriculteurs dans la construction d’un paysage qui favorise la biodiversité et la présence d’auxiliaires de cultures, tout en réduisant la présence d’adventices. Il s’appuie sur les travaux de recherches de l’UMR BAGAP.  

 

Une description rapide ?

PayZZage, c’est un jeu de plateau invitant les apprenants (Bac Pro et post-bac) à mener une réflexion collective pour élaborer un paysage agricole selon les principes de l’agroécologie.  Le plateau de jeu représente un paysage contenant des parcelles appartenant à 2 exploitations et des éléments paysagers (rivière, haies, bois, route). Les apprenants forment 2 groupes et se voient remettre une fiche « exploitation » présentant les objectifs et les contraintes de l’exploitation dont ils doivent assurer l’assolement. Après la réalisation de l’assolement, les apprenants se voient expliquer les conditions favorisant les espèces auxiliaires et doivent repenser l’organisation spatiale des couverts pour favoriser la biodiversité du paysage.

PayZZage offre l’opportunité d’aborder de façon ludique et active des savoirs (connaissances sur l’agroécologie, la biodiversité fonctionnelle, …) de mettre en pratique des savoir-faire (raisonner l’allocation de parcelles en fonction d’objectifs de production et de contraintes, prendre des décisions) et de développer des savoir-être (communiquer, négocier, coopérer, …).

Si vous êtes intéressé et souhaitez participer à la diffusion de ce jeu, l’équipe des concepteurs du jeu conduit actuellement une enquête pour aider à définir la meilleure solution de mise à disposition du jeu : https://enquetes.inra.fr/index.php/352366?lang=fr

L’origine du jeu

Dans le travail de recherches, l’UMR BAGAP a fait des simulations à partir de 8 fermes en faisant varier les systèmes de production, avec des systèmes bovins lait et des systèmes porcins, et toutes les compositions possibles pour voir quels effets cela pouvait avoir sur le paysage. Et c’est ce qui a donné l’idée de faire ce jeu, pour rendre accessible les résultats de ces travaux qui sont des simulations plus complètes mais sur ordinateur.

Les différents temps du jeu :

  • Chaque équipe compose son assolement en tenant compte des contraintes proposées dans la fiche de description sélectionnée par le maître de jeu
  • Ceci amène un premier temps de discussion sur le paysage créé, à partir des choix réalisés et de ce qui les ont motivés,
  • Puis, l’on observe ce que cela donne d’un point de vue écologique sur la flore adventice, les carabes inféodés au milieu boisé et les carabes inféodés aux cultures. Les règles présidant aux effets du paysage sur la biodiversité sont expliquées par le maître de jeu en même temps que celui-ci indique la présence de chaque espèce.
  • A l’issue de ce premier positionnement, il y a un autre temps qui va viser à reconfigurer le paysage, afin de créer un paysage qui va diminuer les adventices et développer les deux types de carabes, considérés comme des auxiliaires de culture,
  • Chaque temps est l’occasion d’un temps d’échange, et des points sont attribués aux équipes ont fonction de l’état écologique et de la prise en considération des attentes de l’éleveur. La double évaluation permet d’aborder les questions de compromis.

Comment se déroule une partie en classe ?

Le principe général est de commencer assez vite par jouer. Le jeu se présente par un plateau qui accueille 2 exploitations qui disposent chacune de 13 parcelles de 5 hectares. Une route sépare les deux exploitations, et 6 des 13 parcelles se situent de l’autre côté de cette route. Un ruisseau et un bois complète le paysage.

Par souci de simplification du jeu, seulement 4 couverts sont proposés :

  • Des prairies temporaires, fauchées et qui le resteront dans du cadre du jeu,
  • Des prairies permanentes qui ne servent qu’au pâturage,
  • Des parcelles de maïs représentent les cultures de printemps,
  • et des parcelles de blé qui représentent les cultures d’hiver (et à paille),

Il est possible d’associer des productions différentes (par exemple faire jouer une exploitation laitière et une exploitation porcine, ou 2 exploitations laitières ou 2 exploitations porcines). Chaque exploitation a des caractéristiques qui lui sont propres. Ces caractéristiques sont données par une « fiche descriptive », le jeu compte actuellement 4 systèmes de production.

C’est à partir de cette description que chaque équipe devra déterminer ses choix de cultures en fonction de ses besoins et de son système de production (maïs, prairies, céréales, etc…).

Une partie pour tester ?

Dans l’exemple que nous avons pu tester, nous avions une exploitation porcine et une exploitation laitière :

 « L’exploitation porcine, se compose d’un élevage « naisseur engraisseur » de 150 truies. Elle a besoin de 500 tonnes de maïs grain et de 350 tonnes de blé ou d’orge. L’exploitant dispose de son matériel de récolte, qui est coûteux, et il a peur de la casse, liée par exemple aux branches d’arbres… (il apprécie assez peu les haies arborées…). 

Pour l’exploitation laitière nous avons 45 vaches laitières. L’exploitant recherche l’autonomie fourragère du troupeau. Pour cela il a besoin de 75 ares d’herbe par vache laitière et de 250 tonnes de maïs, mais également de 30 tonnes de paille pour le logement des animaux. Sachant que ses voisins aiment particulièrement bien voir les vaches laitières à l’ombre des arbres… ».  

Outre le choix des cultures pour alimenter les troupeaux, les apprenants sont amenés à se questionner sur la gestion de la main d’œuvre (différente pour chaque culture), de la distance au siège de l’exploitation et de l’accessibilité des parcelles, de la gestion des éléments fixes du paysage…

En plus des parcelles (tuiles), le maître de jeu propose des bordures de champ (haies et bandes enherbées) que les joueurs pourront ou non implanter.

Ainsi à partir de l’énoncé et du matériel de jeu, les étudiants se concertent et réalisent les calculs, ce qui permet de revenir sur les niveaux de production locale, mais aussi de prendre en compte qu’il y a toujours une parcelle au moins considérée comme moins productive, et que l’on conduit en prairie permanente (par expérience).

Le décompte des points et le temps de la négociation et des échanges !

« Moi je veux une grande parcelle pour optimiser au niveau du travail » « Oui attention, la monoculture ce n’est pas bon pour les adventices ! » « Mais il faut faire attention aux choix de l’autre exploitation ? » « Oui ben pour l’instant on fait pour nous hein ! » « Oui mais là, on est bien obligé de mettre des bandes enherbées à côté des cours d’eau, sinon on va se faire taper sur les doigts… »… effectivement, s’il n’y en a pas cela fait perdre des points sur la partie environnementale !

Lorsque l’on travaille avec des apprenants de lycées agricoles, les premiers paysages qui sortent sont en général organisés en grands ilots, les haies sont limitées pour tenir compte du matériel fragile aboutissant à des paysages avec des adventices et peu de carabes. Ce qui amène à la discussion sur les tensions entre temps de travail / gestion du matériel / équilibre biologique au sein de la parcelle pour moins traiter. Pour se protéger de « l’autre exploitation », les étudiants peuvent mettre des haies, mais cela augmente le travail.

Puis vient le temps du décompte des points, sachant qu’une exploitation a un parcellaire plus groupé que l’autre et peut réaliser des continuités plus facilement.

Les points sont attribués en fonction d’un barème basé sur des observations réalisées par l’équipe de chercheurs. Mais l’enseignant peut faire évoluer le barème si les étudiants proposent une justification particulièrement pertinente.

Il est également possible d’introduire des éléments comme « il y a un vent dominant dans le sens de la route, est-ce que les haies sont positionnées de façon à protéger les parcelles ? », ou « il y a une grande pente, est-ce que les choix sont cohérents avec les risques d’érosion ? ».

Dans un second temps des échanges de parcelles entre exploitants sont possibles…

Configuration de jeu en classe

Pour une partie, il faut compter une séance de 2h, avec une taille de groupe de 6-10 personnes maximum (6 étant un idéal). Dans les 2h, les temps d’échanges et de debriefing sont intégré, ainsi que des apports de connaissances sur les habitats, les règles de décisions des assolements etc. Il est possible de multiplier (à condition d’avoir les plateaux) les groupes : même si cette configuration n’a pas encore pu être testée, les concepteurs du jeu sont en train d’adapter le fonctionnement pour que la séance reste fluide.

De nombreux scénarios d’usages sont à encore à inventer avec les concepteurs (modalité, type d’animation, etc…) qui sont prêts à échanger avec les enseignants.

Contacts 

Pour en savoir plus, et/ou si vous êtes intéressés pour mobiliser ou expérimenter PayZZage, vous pouvez contacter :

Pour l’équipe de PayZZage, Gilles Martel, Chargé de Recherches, UMR BAGAP (Biodiversité, AGroécologie et Aménagement du Paysage), gilles.martel@inrae.fr

Pour l’institut Agro, Agrocampus-Ouest, François Guerrier, Mission d’appui à l’enseignement, francois.guerrier@agrocampus-ouest.fr

 




La laïcité au cœur des valeurs de notre République, à Tours Fondettes Agrocampus.

Dans le cadre de la journée Nationale de la Laïcité et suite à l’assassinat de l’enseignant Samuel PATY, la communauté éducative de l’EPL Tours Fondettes Agrocampus a organisé 2 demi-journées consacrées à la Laïcité.

Cette initiative s’est adressée à l’ensemble des classes, se déclinant par niveau (CAP-secondes / premières-terminales / BTSA), autour d’une pédagogie de production collective.

Afin de mettre nos élèves, étudiants et apprentis en activité et en responsabilité, nous avons mobilisé différents supports artistiques, ludiques (escape game, quizz), des ressources vidéos (docu-fiction, infographie animée), ainsi que des intervenants extérieurs (journaliste, caricaturiste), avec un souci marqué de contextualisation et de co-construction du concept de laïcité.

Découvrez en détail cette action qui a concerné tout l’établissement

 

 

 

 

 

 

 




Les délégués de classes AMBASSADEURS-CITOYENS pour leurs camarades, sur les thèmes de la République française, la liberté d’expression et la laïcité, en Haute Somme.

A l’EPLEFPA de la Haute-Somme, les délégués de l’établissement (lycéens, apprentis et adultes), en binômes, ont pris la place de leurs enseignants/formateurs le temps d’une séance de cours!

Après avoir été formés par les deux CPE de l’établissement et la cheffe de projet et de partenariats, les délégués sont intervenus dans leur classe pendant 2 heures pour sensibiliser leurs camarades sur les thèmes de la République française, de la liberté d’expression et de la laïcité.

S’appuyant sur un diaporama qui structurait la séance, les délégués ont proposé un ensemble d’activités autour de ces thèmes.

Découvrez en détail cette initiative originale

 

 

 

 

 

 




Réalisation d’un escape virtuel par la classe de première année de CAPA du Lycée Horticole de Lomme

Les élèves de première année de CAPa Métiers de l’Agriculture ont travaillé une semaine complète sur la réalisation d’un escape game virtuel avec l’encadrement deux enseignants et un auteur lillois Teddy Hégo. Ils se sont initiés aux techniques d’écriture et artistiques en s’interrogeant sur la thématique du Vivre Ensemble.

Pour jouez cliquez sur le lien suivant :

https://view.genial.ly/5fe1f97bfa68050cfca3fed1/game-breakout-escape-game-lycee-horticole-de-lomme

Découvrez plus en détail cette initiative !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 




Elevage de Lotte de rivière et Système Alimentaire Local et Durable pour l’établissement Olivier Guichard de Guérande

Le lycée professionnel Olivier Guichard est un établissement implanté sur la presqu’ile guérandaise depuis 1972. Établissement singulier et sous la double tutelles ministérielles Education Nationale et Agriculture, il  accueille 400 élèves-apprentis sur plus de 22ha au sein de 8 secteurs de formations (Aquaculture, Travaux paysagers, horticulture, Fleuristerie, Cultures Marines, Mécanique et Hôtellerie restauration) https://www.lycee-olivier-guichard.fr/

Le programme national pour l’alimentation, issu de la loi de modernisation de l’agriculture et de la pêche de 2010, doit permettre à chacun d’avoir accès à une « alimentation sûre, diversifiée, en quantité suffisante, de bonne qualité gustative et nutritionnelle».

Dans ce cadre le lycée s’est engagé dans le développement d’un Système Alimentaire Local et Durable d’Etablissement (SALDE)

 

Par ailleurs, la pisciculture française cherche de voies de développement et de diversification. L’enseignement agricole et la formation aquacole peut contribuer à cette démarche et former le jeunes aquaculteurs de demain.

Ainsi, depuis le début d’année scolaire 2020-21, des premiers essais  d’élevage de Lotte de rivière (Lota Lota)  ont été initiés sur l’atelier aquacole continentale du Lycée professionnel Olivier Guichard à Guérande (Loire Atlantique).

 

Découvrez en détail ces deux actions !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 




Toi + Moi = Citoyens et responsables au lycée de Montravel

Le Lycée de Montravel est spécialisé dans les domaines de l’horticulture, du paysage et de la vente, en formation initiale scolaire et apprentissage, mais aussi en formation professionnelle continue pour adultes.

Une des particularité de l’enseignement agricole, c’est de travailler l’éducation socioculturelle, ce qui recouvre entre autres choses l’éducation à la citoyenneté, l’ancrage territorial, de travailler avec des associations, le développement personnel et professionnel, …

Les classes de CAPa, seconde et première ont suivi différentes activités sur 3 journées banalisées consacrées au projet. Ces activités sont encadrées à la fois par les intervenants des structures partenaires, mais également par des enseignants et du personnel de l’établissement Atos : administration, cuisine, entretien,…

Découvrir ici la description complète de cette action


 

 

 

 




Des instruments pour enseigner les transitions … des systèmes de culture

L’agriculture de conservation vit actuellement une crise : ayant fait figure de nouvelle agriculture (abandon du labour), elle est désormais pointée du doigt en raison de sa dépendance au glyphosate ; cette dépendance tend, dans le débat actuel, à prendre le dessus en termes d’image, sur les externalités pourtant appréciables (biodiversité, sol, temps de travail).

Un travail a été mené à l’EPLEFPA des Sardières, en région Auvergne-Rhône-Alpes et fait déja l’objet d’une présentation sur Pollen : GLYPH’EAU Comment répondre à la société sur la question du glyphosate ?

Christian Peltier et Brigitte Ringeval ont accompagné ce projet.

Dans la vidéo ci-dessous ils reviennent sur quelques points agronomiques et sociaux qui peuvent aider les transitions des système de cultures :

  • Repenser la fertilité du sol
  • Retour d’une rotation complexe
  • Des leviers à 4 dimensions
  • Les enjeux pour les enseignants, les apprenants


 

 

 




Les rencontres nationales de l’innovation pédagogique de l’enseignement agricole à distance les 31 mars et les 1 et 2 avril 2021.

Les prochaines rencontres nationales de l’innovation pédagogique de l’enseignement agricole sont prévues à distance les 31 mars et les 1 et 2 avril 2021.

Ces rencontres nationales sont coordonnées par L’institut Agro Montpellier SupAgro.

Vu les contraintes sanitaires du moment et il est probable que ces rencontres se fassent à distance.

Nous vous invitons à réserver ces dates dans votre agenda.

Vous trouverez les informations sur ces rencontres à la page Pollen

Les rencontres nationales de l’innovation pédagogique, à distance, 31 mars et les 1 et 2 avril 2021.

et sur Chlorofil

 

 

 

 

 

 

 

 

 




Implication des apprenants pour combiner couverts végétaux et réduction de l’utilisation de produits phytosanitaires au Lycée Edouard de Chambray

L’exploitation agricole du lycée est un excellent support pour les apprentissages de nos étudiants. Nous avons souhaité les impliquer au maximum dans le fonctionnement des différents systèmes de cultures dont elle dispose. Pour cela au début de leur formation ils se sont positionnés en tant qu’observateurs. Puis à l’occasion d’une journée organisée par un partenaire privilégié de l’exploitation, le GIEE des Trois Vallées, les étudiants ont eu à communiquer sur les travaux qu’ils ont réalisé au cours de l’année. Enfin, au cours de l’année suivante, ils ont mobilisé leurs acquis pour répondre à des changements du système de production de l’exploitation.

 

Découvrez en détail cette action