Travailler sur les ressources communes à partir de l’animation d’un groupe de développement (TDTI) ?

L’innovation pédagogique autour du dispositif « toutes différentes, toutes intéressantes »  se poursuit à Caulnes dans le cadre d’une saison 3 !

Ce dispositif qui comprend plusieurs étapes, a comme objectifs de développer les interactions langagières et de faire de la place aux élèves (et à la parole des élèves), en les entrainant au questionnement, mais également  à raisonner, à s’écouter, à argumenter, etc … à partir de leur situations propres.

Aussi, le principe est de produire de la connaissance à partir des questions (préoccupations, problématiques…) qu’ils et elles se posent avec leurs maîtres de stage, de donner à voir la variété des pistes de solutions possibles, puis d’en retenir une pour l’explorer en détail. Il s’agit alors de traiter les différentes sous questions que ne manque pas de poser la solution retenue, ce qui invite à examiner les conséquences des choix des pratiques.

Comme chaque année, nous nous apercevons que ce travail fait évoluer les relations entre élèves, et entre les jeunes et les adultes. Les situations évoquées apportent des problèmes très concrets qui touchent directement les apprenants car quand il n’est pas question de leur exploitation de stage, il est question de celle de leur camarade. Aussi, il devient important de se construire des références et d’aborder les différentes facettes d’un problème : économique, technique, biologique, physique, mathématique, agronomique, ou encore culturel.

Cette année, avec leurs enseignants les élèves de première CGEA ont décidé de se concentrer sur une solution de réduction du coût alimentaire en développant la couverture permanente des sols et d’évaluer les impacts sur les plans économiques, de la faisabilité technique, mais également sur les conséquences des choix sur la ressource commune eau en travaillant particulièrement les différentes échelles (les parcelles, l’exploitation, le territoire et l’environnement). Le travail d’analyse et d’exploration fait, elles et ils ont échangé sur leur projet avec les élèves de seconde pro.

Dans la vidéo suivante, les élèves présentent leur travail et donnent à voir un peu de leurs échanges

 

Un bilan est prévu dans un prochain témoignage à paraître pour pointer les points de vigilance et les effets constatés par les enseignants, qui  » ne courent plus après eux pour avoir les rapports de stage… »

François Guerrier AGROCAMPUS-OUEST

Benoît Jamet, Evelyne Bohuon et Sandrine Poulet EPLEFPA de Caulnes

Pour en savoir plus sur ce dispositif : francois.guerrier@agrocampus-ouets.fr, evelyne.bohuon@educagri.fr et les différents témoignages dans pollen ! 

TDTI est un dispositif développé dans le cadre des expérimentations pédagogiques et du dispositif EPA de la région Bretagne




Innover pour enseigner la transition agroécologie : le séminaire Pépiéta

Les 8, 9 et 10 octobre, une délégation d’enseignants et formateurs des 15 établissements engagés en équipe pluridisciplinaire dans la recherche-action Pépiéta CGEA se sont retrouvés à la Bergerie Nationale à Rambouillet pour échanger sur les actions qu’ils et elles conduisent pour que leurs élèves et apprentis puissent acquérir les capacités nécessaires à réussir dans le cadre de la transition agroécologique. Ce séminaire de travail était aussi l’occasion de tirer un certain nombre d’enseignements pour conforter certaines pratiques et apporter des pistes de réflexion aux équipes qui mettent en œuvre la réforme du Bac Pro CGEA.

Ainsi, durant deux journées, 24 personnes ont planché dans le cadre d’ateliers pour confronter leur pratiques et s’approprier des repères pour :

  • apprendre aux élèves/apprentis à questionner et se questionner,
  • oser aborder la transition agroécologique,
  • exploiter les potentiels de développements d’une situation d’apprentissage,
  • apprendre à raisonner des transitions agroécologiques en articulant différentes échelles.

Ces établissements, engagés dans la recherche-action Pepieta, sont accompagnés par les équipes d’appui à l’enseignement agricole d’AGROCAMPUS-OUEST, Agrosup-Dijon, la Bergerie Nationale, l’ENSFEA et Momptellier Supagro (Institut de Florac).

 

Des points d’appuis pour mettre en œuvre le Bac Pro CGEA

Ils ont également proposé des témoignages de leurs projets sous la forme de posters et d’interventions débat, et ils et elles ont pu proposer quelques recommandations pour repenser leur formation et sa progression et mettre en œuvre la réforme, comme par exemple l’intérêt :

  • d’effectuer une lecture collective du référentiel pour que chacun y trouve sa place et développer une culture partagée ;
  • de travailler en commun les matières techniques et générales et prévoir le temps nécessaire pour permettre aux apprenants d’accéder au sens des apprentissages ;
  • de penser l’organisation et la progression pédagogique de la formation en impliquant la direction et toute l’équipe pédagogique et de prévoir des temps réguliers de régulation entre membres de l’équipe et avec les apprenants ;
  • de construire une progression sur les 3 années  en mobilisant des outils d’analyse de plus en plus complexe au fil de la formation ;
  • de repositionner la transition agroécologique dans une approche globale historique, économique et politique
  • de s’appuyer sur des systèmes variés pour appréhender le fonctionnement d’une entreprise agricole dans son territoire et comprendre les enjeux de transition agroécologiques et les différentes échelles imbriquées d’intervention ;
  • mise en situation concrètes des élèves pour élargir leur champ de références et pour leur permettre d’éprouver par l’expérience les savoirs et savoir-faire ;
  • anticiper et piloter les interventions conduites dans le cadre de mise en situations concrètes des élèves (définition en amont des objectifs de formation puis retour sur les activités concrètes réalisées en lien avec ces objectifs) ;
  • la nécessité d’inclure les maitres de stages et maitres d’apprentissage dans cette formation rénovée ;

Les apports du comité scientifique

Parmi plusieurs apports appréciés du collectif des enseignants et formateurs à la manette, le comité scientifique, composé de Patrick Mayen et Fanny Chrétien, a mis en exergue certains points relevés pendant le séminaire.

Dans sa communication Fanny Chrétien a ainsi noté l’importance des savoirs fondamentaux, d’ordonner différentes modalités pédagogiques, d’agencer finement les compétences développées par les équipes pour appréhender l’agroécosystème en lien avec les pratiques agricoles, de travailler les représentations sociales des apprenants qui sont percutés de plein fouet par les enjeux de durabilité et par ce qu’implique l’évolution vers un nouveau métier d’agriculteur agroécologue pour inviter à une réflexion sur  l’autonomie comme un bien commun.

Patrick Mayen a quant à lui mis l’accent sur  l’évolution du contexte et des enjeux depuis le lancement du plan Enseigner à produire autrement en 2014 . Il a salué l’ampleur du travail réalisé par les équipes Pepieta qui a permis de redécouvrir les atouts de l’enseignement agricole et son potentiel de développement. Il a souligné la dimension opératoire de la notion de ressources communes pour la formation, l’importance de développer des stratégies d’apprentissage pour développer la capacité de penser, de raisonner, de réfléchir indispensable en tant qu’agriculteur mais aussi de citoyen et à insister sur le rôle du langage pour développer la pensée et cela au-delà des enjeux liés à la transition agro-écologique.

Les intervenants ont  également mentionné l’ouvrage « VALORISER LE POTENTIEL D’APPRENTISSAGE DES EXPÉRIENCES PROFESSIONNELLES : Repères, démarches et outils pour accompagner l’apprenant en formation par alternance…  » coordonné par Armelle Lainé et Patrick Mayen  à paraitre prochainement dans la collection praxis d’Educagri Edition

De nombreuses ressources à disposition

Plusieurs ressources ont également pu être échangées :

Toutes sont accessibles sur le site Chlorofil, avec en plus des témoignages et vidéos des expérimentations pédagogiques Pepieta  publiées dans Pollen.

Vous trouverez également ci-après les projets des équipes pepeita cgea  (posters commentés élaborés lors du séminaire final en décembre 2019).

Le point avec le comité de pilotage de la DGER

Enfin, le comité de pilotage de la DGER invité à participé à la clôture du séminaire le  9  octobre  matin a particulièrement apprécié la dynamique à l’œuvre, l’ensemble des productions et des retours constructifs que les équipes ont pu faire (importance du temps – quantité et durée-, de la continuité dans la conduite des actions,de moments d’analyse collective, de formation-action…) et des ressources produites. Le début de valorisation de cette action va être poursuivi sur 2020.

Nous tenons à remercier les participants à ces journées et les 15 établissements qui ont participé à cette action ainsi que les chargés de mission des 5 établissements Nationaux d’Appui qui ont encouragé et accompagné les équipes dans la réalisation de leurs projets, et organisé et animé ce séminaire.

 

Béatrice Degrange, Agrosup-Dijon, Eduter Ingénierie

François Guerrier l’institut Agro, AGROCAMPUS-OUEST

 

 

 

 » width= »20″ height= »20″>




Enseigner la transition agro-écologique en équipe pluri disciplinaire en Bac Pro CGEA, témoignage du lycée agricole de la Thiérache.

L’établissement a voulu profiter d’une rénovation du référentiel de diplôme pour s’interroger sur ses pratiques et créer les conditions pour que les enseignants travaillent ensemble, au sein d’une équipe et de la filière « production » de l’établissement. L’établissement a candidaté pour être accompagné dans le cadre de l’action nationale d’appui, PEPIETA, Bac Pro CGEA.

Ce projet voulu au départ par la direction, a donné suite à un cheminement lent des membres de l’équipe et les a obligés à sortir de routines. Au bout de deux années d’accompagnement, des leviers, des envies, des pistes ont été décelés, fédéré des projets au niveau de l’EPL et notamment avec l’exploitation. Il a fallu passer par une remise en question de sa vision de l’élève et de la posture adaptée de l’enseignant en fonction des intentions pédagogiques Finalement, le changement devrait procurer plus de confort et d’efficience à la fois pour les élèves et les enseignants. D’où, une vraie valeur ajoutée pour l’établissement.

Découvrez en détail le déroulement de cette action et ses résultats.

 

 

 

 

 




La réussite de la classe inversée en BTSA Gestion Forestière, au CEFA de Montélimar.

Normal 0 21 false false false FR X-NONE X-NONE /* Style Definitions */
table.MsoNormalTable
{mso-style-name:"Tableau Normal";
mso-tstyle-rowband-size:0;
mso-tstyle-colband-size:0;
mso-style-noshow:yes;
mso-style-priority:99;
mso-style-parent:"";
mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt;
mso-para-margin:0cm;
mso-para-margin-bottom:.0001pt;
mso-pagination:none;
text-autospace:ideograph-other;
font-size:12.0pt;

mso-font-kerning:1.5pt;
mso-fareast-language:ZH-CN;
mso-bidi-language:HI;}
expérimentations pédagogiques, accompagnée par MontpellierSup Agro, est représentative de l’innovation réfléchie sur un temps long, qui questionne les postures et les habitudes des enseignants, mais aussi des élèves, qui s’implante par étapes et qui se diffuse petit à petit.

Un bel exemple de démarche concertée, organisée, accompagnée et enrichissante pour tous.

Retrouvez ici tous les détails sur le développement de cette classe inversée.

 

Et en vidéo le témoignages des élèves.


 

 

 

 




« Lumière sur la Solidarité », le projet LumoS à l’EPLEFPA de la Haute-Somme.

Le projet LumoS vise à mettre en lumière comment les initiatives solidaires d’un établissement agricole ne disposant pas d’exploitation agricole peuvent permettre l’innovation pédagogique et le développement du territoire. Le projet LumoS consiste dans un premier temps à recenser, analyser et valoriser les initiatives solidaires mises en place au sein du lycée, du CFPPA et du jardin d’insertion de l’établissement. L’analyse des pratiques vise in fine à mettre en place des outils bénéfiques à l’équipe éducative et à l’ensemble des apprenants pour la mise en place de nouvelles initiatives.

Découvrez en détail le fonctionnement de cette expérimentation pédagogique !

 

 

 

 

 




E-learning en formation pour adulte : quelles conditions préalables au changement ? Thèse de doctorat de Pierre Billet.

Nous vous présentons ici la thèse de doctorat en sciences de l’éducation, de l’Université de Bourgogne, soutenue par Pierre Billet, ayant pour titre : « E-learning en formation pour adulte : quelles conditions préalables au changement ? »

Tout d’abord, si les thèses de doctorat nous ont habitués à une certaine austérité graphique, il faut souligner ici la qualité de la mise en page, soutenue par une iconographie en couleur.

Mais c’est bien sur le fond que cette thèse est d’une grande richesse, l’ensemble devenant un document de référence pour toute personne qui souhaite aborder le domaine du e-learning (pris au sens des différentes formes d’apprentissage en ligne).

Le chapitre premier définit le e-learning en passant par des « notions adjacentes », commençant par les notions clés (médiation, interactivité, le tétraèdre pédagogique de Faerber…), la technologie, le fonctionnement de la formation continue, pour finir par l’innovation.

Le chapitre 2 aborde les théories de l’apprentissage et l’adulte apprenant, avec le behaviorisme, le constructivisme, l’andragogie… qui aboutit à un « cycle d’apprentissage, à l’aune du numérique » qui envisage en six étapes une démarche d’apprentissage.

Le chapitre 3 pose la question de l’adoption du e-learning en formation d’adultes, avec tout ce qui est lié au changement et ses résistances.

Ensuite vient la problématique de recherche :

Nous retenons donc, pour notre recherche, les questions permettant d’éclairer les raisons du délaissement de la modalité e-learning, à la fois par les individus, acteurs du dispositif (dirigeants et opérateurs), mais aussi par l’organisation elle-même. Nous tenterons d’aller plus loin, en traitant non seulement les raisons de ce délaissement, mais en nous intéressant également aux conditions nécessaires pour passer des modalités de formation en présentiel vers des modalités numériques, au moins partiellement.

Cette recherche trouve son ancrage théorique avec l’équation du changement de Farmakis, qui envisage un changement dépendant de cinq facteurs : la vision, l’incitation, les moyens, les compétences et le plan d’action.

 

Ainsi Pierre Billet pose cinq hypothèses de recherche

  • Y a-t-il un défaut de vision partagée ? en d’autres mots, tous les acteurs du réseau visent-ils les mêmes objectifs, partagent-ils la même ambition, sont-ils tous au même niveau de connaissance et de culture en la matière ?
  • Existe-t-il un manque de moyens, humains et/ou financiers, qui paralysent l’élan ?
  • Y a-t-il un défaut de compétence, chez quels acteurs et dans quel champ (pédagogique, technologique, managérial…) ?
  • Y a-t-il un problème de pilotage ou de gestion de projet, un défaut de plan d’action ?
  • Les incitations font-elles défaut, ou, si elles existent, ne seraient-elles pas entendues par tous ?

Le terrain de recherche est le réseau des GRETA. Le chapitre 5 présente la méthode d’analyse, qui a retenu un échantillon GRETA majoritairement issus des régions Bourgogne Franche Comté et Normandie, avec ponctuellement quelques acteurs de Paris, Lille, Reims…

Les données sont collectées par une enquête qualitative de 46 entretiens, 18 décideurs (dirigeants, en charge de la politique des établissements, de la gestion des RH) et 28 opérationnels (CFC, formateurs…).

Nous vous laissons le soin de découvrir les conclusions de cette étude.

Nous faisons le pari que les centres de formation agricole, les CFPPA, engagés plus ou moins dans la FOAD et le e-learning, pourront y trouver de fortes ressemblances !

 

Source : http://www.theses.fr/2018UBFCH003

Document PDF (444 pages)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 




La reconstitution historique et militaire : un outil de médiation et d’ancrochage au service des apprentissages au LPA de l’Oustal.

Depuis plusieurs années, Patrice CASTEL, professeur d’histoire-géographie, a recours au travail sur les lieux de mémoire de la Seconde Guerre mondiale (Oradour/Glane, camp d’internement de Brens et du Vernet d’Ariège, bois de la Reulle…) afin d’illustrer son cours d’histoire. Depuis le mois de juin 2019, il propose à ses élèves des animations de reconstitution historique et militaire qui constituent un outil de médiation et d’ancrochage, au service des apprentissages en lycée professionnel agricole.

 

Suivez ce lien pour découvrir en détail cette action !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 




Un travail de recherche sur la motivations et les choix d’orientation en lycée agricole, le cas de la filière agroéquipement.

Ghislain Favergeat est enseignant en agro-équipements au Campus AGRONOVA Montbrison-Précieux, dans la Loire.
Dans le cadre d’un Master 2 à l’Université Jean Monnet de Saint Etienne, il s’est penché sur les déterminants du choix d’orientation des jeunes issus de baccalauréat professionnel.
Ce Master de recherche dans le domaine des Sciences de l’Education lui a permis de rédiger un mémoire ayant pour titre : Motivations et choix d’orientation en lycée agricole. Le cas de la filière agroéquipement.
Il accepte pour Pollen de présenter ses travaux d’étude, de partager des concepts en prenant soin de relier la théorie à sa pratique quotidienne d’enseignant.

Vous trouverez dans l’animation « Genial.ly » ci-dessous une interview qui revient sur les principaux concepts mobilisés dans cette recherche, comme l’autonomie, la motivation, le sentiment d’efficacité personnel, la vocation, l’évaluation cognitive… et leur importance dans une pratique enseignante. En plus des vidéos, vous trouverez quelques QCM, des résumés, une bibliographie…

Bonne découverte !

 




Un dossier de veille de l’Ifé consacré à l’enseignement agricole

Enseignement agricole : enseigner autrement

n° 130, juin 2019

Anne-Françoise Gibert, chargée d’étude et de recherche au service Veille et Analyses de l’Institut français de l’Éducation (IFÉ) vient de finaliser un dossier de veille consacré à la fois à décrire et dessiner les principales caractéristiques de l’enseignement agricole, mais également à son actualité, tant pour faire réussir les apprenants que pour enseigner à produire autrement.

Pour accéder au résumé du dossier de veille « Enseignement agricole enseigner autrement »
et télécharger la version intégrale du dossier (version PDF)




Valoriser le stage ferme et s’entrainer au BEP, apprendre à questionner le travail en groupe classe

Joël Dagorn et Fredéric Mouchy ont décidé de repenser le stage ferme pour les élèves de seconde afin de mieux l’intégrer dans la progression pour

  • préparer les élèves au BEP,
  • valoriser leur travail,
  • leur faire vivre une discussion « entre professionnels » dans la classe à partir d’une activité concrète.

A l’issu de leur stage sur la ferme du lycée, les élèves, ici Lena et Benjamin, présentent leurs situations à leurs collègues qui les écoutent et les aident par leurs questionnements pour décrire et analyser ce qu’ils ont fait (« le comment, le pourquoi… »).

Là les enseignants s’effacent pour laisser interagir les élèves, puis reprennent la main en soulignant les points clés de vocabulaire, mais aussi pour mettre en question des points qui n’auraient pas été questionnés (lien avec le territoire, l’environnement, la sécurité, l’hygiène, …).

Un-e volontaire vient au tableau pour noter l’essentiel à retenir : Le titre, le but, les ressources, les conditions de réussite, l’ordre ou les étapes, les points de vigilance, etc…

Nous vous invitons à visionner le témoignage de Frédéric et Joël qui présentent l’origine de leur démarche, leurs intentions mais également les premiers résultats et les pistes d’amélioration.

Pour en savoir plus, consultez le témoignage de l’expérimentation : https://pollen.chlorofil.fr/toutes-les-innovations/monparam/1502/

François Guerrier, Agrocampus-Ouest

Juin 2019